Episode Transcript
[00:00:00] Speaker A: Un accident tragique m'est arrivé à ma première journée d'intégration à l'Université de Sherbrooke. Tout bonnement, j'allais faire mes intégrations tard le soir avec mes amis et puis.
[00:00:10] Speaker B: Je me suis fait rentrer dedans par un auto.
Allô tout le monde, bienvenue au premier épisode du podcast Control Back. On est tellement excités aujourd'hui de pouvoir faire notre pilote. Comment ça va Laura?
[00:00:34] Speaker A: Ça va bien, merci.
[00:00:36] Speaker B: Pas trop stressée, excitée?
[00:00:38] Speaker A: Non, ben en fait j'ai hâte. Je pense que c'est une première, ben pas je pense, c'est définitivement une première expérience pour nous deux. Donc quête à l'apprentissage, mais je te laisse débuter puis amorcer un petit peu vers quoi on s'embarque pour la prochaine session.
[00:00:52] Speaker B: Donc, en fait, moi et Laura, on est des étudiantes en troisième année en communication marketing, puis on a décidé de se lancer dans un micro-stage à la radio CFAQ. Donc, aujourd'hui, on commence notre podcast qui s'appelle « Control back » pour prendre le contrôle de son bac, littéralement. Alors, on veut un peu créer un guide de survie à l'université, comment survivre à travers les premières, les deuxièmes, les troisièmes, toutes les années d'université. On va essayer également de rencontrer des invités, des experts dans la matière pour un peu accompagner notre communauté dans le fond, dans leur parcours universitaire.
[00:01:28] Speaker A: Exactement. Donc, d'ailleurs, on va vous le dire à plusieurs reprises, mais on veut vraiment justement être proche de nos étudiants, de nos collègues de classe. Donc, n'hésitez pas à nous poser des questions, que ce soit sur notre compte Instagram, en dessous de la vidéo. On veut vraiment vos rétroactions pour justement être proche de la communauté, puis vous représenter, puis rire un petit peu des choses qui peuvent se passer à travers notre bac à Sherbrooke. Ou n'importe où. On est situés à Sherbrooke. On ne l'a pas dit.
[00:01:57] Speaker B: On base notre concept sur les FAIL. On a tous fait des FAIL en rentrant à l'université à nombreuses reprises. C'est pour ça qu'on a pu voir aussi notre introduction avec notre rookie de la semaine avec son FAIL. À chaque épisode, on va présenter un FAIL et on va également en partager des nôtres parce que j'en ai une banque.
Donc, est-ce qu'on se présente un petit peu plus? C'est Camille, je l'ai déjà dit, enchantée, troisième année au bac en commercating. Sinon, si je parle un peu plus de moi, j'ai commencé mes études comme tout le monde, au secondaire, j'ai une fille super créative, mais qui est bien angoissée par le futur, puis qu'est-ce que je vais faire dans la vie.
[00:02:40] Speaker A: Tu viens de où?
[00:02:41] Speaker B: Ah oui, je l'ai pas dit, je viens de la rive sud de Montréal, Saint-Julie, big spot. À travers mon secondaire, les années qui passaient, puis j'étais angoissée de ce que j'allais faire. Je suis très au jour le jour, je vous dirais. Fait que j'ai rencontré une conseillère en orientation pour essayer de me démêler tout seul, de baisser mon stress. Puis, elle m'a dirigée vers la sciences humaines administration parce que j'aimais quand même les mathématiques. J'étais bonne à l'école, mais en même temps, je n'étais pas vraiment intéressée par les sciences et tout. Donc, je suis allée pour ça.
[00:03:16] Speaker A: Un bon classique.
[00:03:17] Speaker B: Exactement. Est-ce que j'ai tripé sur le sujet? Bof! Mais qui a traité sur le cégep? C'est ce que j'allais dire. Puis, encore une fois, les deux ans passés, j'ai fait mon deck en deux ans. On voulait finir ça le plus vite possible.
[00:03:29] Speaker A: Parce que là, t'as dit que tu viens de Sainte-Julie.
[00:03:31] Speaker B: Oui.
[00:03:32] Speaker A: Là, moi, pas une grande connaisseuse de la culture de Montréal. T'as fait ton cégep où?
[00:03:38] Speaker B: À Sainte-Sainte. en campagne, à côté des vaches. Mais très beau cégep, je recommande. Puis, j'ai encore rencontré une autre conseillère en orientation.
[00:03:49] Speaker A: Une fois le cégep fini.
[00:03:50] Speaker B: Exactement. Pendant mon cégep, pour faire mes demandes d'admission à l'université. Puis là, on était perdus dans la créativité, plus le côté analytique, la pub, n'importe quoi. Ça fait que j'étais entre deux programmes, attention, c'est assez random les deux programmes, je pense même pas que toi tu le sais. J'hésitais entre gestion de la mode à l'UQAM, comme marketing, ou sinon juste admin, mais je me suis plus vite dirigée vers comme marketing. Puis le programme à l'UDS, je pense qu'il était intéressant pour ses programmes co-op. J'avais aussi une belle gang d'amis qui s'en venaient. en région ici à Sherbrooke. Donc, c'est là que j'ai fait mon choix et honnêtement, je m'y plais bien.
[00:04:31] Speaker A: Oui, je pense que Sherbrooke, c'est une belle ville universitaire, c'est reconnu pour ça, mais ayant les deux pieds dedans, on peut vraiment affirmer que c'est vraiment le cas. C'est ça, c'est une université de région. Mais comme pas trop, 100 ans région.
[00:04:48] Speaker B: C'est quand même une ville, je trouve.
[00:04:50] Speaker A: Puis si je peux me permettre de poser plus de questions pour apprendre à te connaître, t'as parlé plus de ton parcours académique, mais mettons qu'on voulait connaître Camille plus personnalité, mais aussi tes loisirs. On parlera plus tard des emplois, des stages qu'on a eus parce que je pense que c'est assez pertinent. Mais si je veux savoir un petit peu...
[00:05:09] Speaker B: Un petit portrait.
[00:05:10] Speaker A: Exact.
[00:05:10] Speaker B: Je pense que je l'ai déjà dit, mais je suis quelqu'un d'être très créative. J'aime vraiment ça, toucher à tout, vraiment être sur le terrain. C'est vraiment ce que j'aime. Sinon, mes loisirs, je suis une danseuse depuis toujours. C'est ma passion. J'enseigne la danse aussi, en parallèle, d'être à l'université. Ça, je pense que c'est vraiment une grosse partie de ma vie et de ma personnalité. Sinon, je suis quand même quelqu'un de rigolote, je pense.
Ouais, c'est dur ça d'écrire comme ça, sinon je pense que je suis quand.
[00:05:42] Speaker A: Même assez… Ben t'es extravertie, parce qu'on y reviendra, mais on est deux bonnes amies à la base, on s'est connues à l'université, mais je te décrirais comme quelqu'un d'assez extravertie, qui aime avoir du plaisir, créative, je pense que c'est un de tes bons atouts aussi.
[00:06:00] Speaker B: Rigoureuse quand il faut. Uniquement.
[00:06:01] Speaker A: Ça, ça dépend.
[00:06:03] Speaker B: C'est pas vrai. Mais là, c'est à toi. On a assez parlé de moi. Parle-moi un petit peu de pourquoi t'as choisi comme marketing toi aussi, puis on reviendra sur ta personnalité après.
[00:06:11] Speaker A: OK. Bien, moi, c'est Laura. On l'a mentionné un petit peu en début d'épisode. Moi, je viens de la Rive-Sud de Québec et non de Montréal.
[00:06:19] Speaker B: Cute.
[00:06:19] Speaker A: Mais vraiment, je viens de la Beauce, Sainte-Marie, qui est une ville en Beauce. Arrête de rire.
[00:06:26] Speaker B: C'était trop difficile de pas rire.
[00:06:27] Speaker A: J'ai fait mon secondaire à Sainte-Marie. J'ai vraiment eu du plaisir. Je me suis impliquée aussi à l'école. Je revivrai mes années du secondaire n'importe quand, honnêtement.
[00:06:36] Speaker B: Moi aussi.
[00:06:37] Speaker A: J'ai vraiment adoré. Exact. Je retournerai n'importe quand. Puis après ça, j'ai eu la chance d'aller à Québec, au Cégep. J'ai choisi d'aller à St. Lawrence en anglais. Puis, il faut savoir que je suis la plus jeune de ma famille. J'ai une grande soeur, un grand frère. Puis, quand j'étais jeune, c'était... Ben, je dis jeune, c'est encore ça, là. C'est vraiment deux grands modèles pour moi. Ça fait que je subis un petit peu leurs traces. Je me posais pas vraiment plus de questions. J'étais bonne à l'école au secondaire. Ça fait que c'était juste... La suite des choses, c'était que j'aille en sciences de la nature parce que, bon, j'étais bonne à l'école, mon frère et ma soeur avaient fait ça, c'est ce que j'avais connu. Donc, j'étais allée en sciences de la nature pour finalement me rendre compte que, bien, je n'aimais pas vraiment ça, mais comme tu l'as dit, le cégep, c'est comme un passage, tu sais, un prix universitaire obligatoire.
Bref, je l'ai fait en trois ans aussi parce que j'étais une étudiante athlète, on en parlera un petit peu plus tard, mais c'était comme juste plus facile avec la natation. Puis là est venu le temps de faire comme les demandes, les demandes universitaires s'approchaient. Puis je savais que je ne voulais pas m'en aller en santé ni en génie. En fait, je me posais des questions à savoir qu'est-ce que j'aimais vraiment. Puis c'est là que j'ai eu des discussions avec mes amis, avec ma famille. qu'est-ce que j'aimais le plus, en fait, qu'est-ce que j'ai ressorti dans mes discussions que j'aimais le plus à l'école, c'était vraiment mes cours de business, mes cours de comptabilité, mais surtout faire des présentations orales, point. J'aimais ça, parler avec les gens, j'aimais ça, avoir des discussions, parler devant un public, ça ne me stressait pas, même que j'aimais ça. Moi, j'aimais mille fois mieux faire une présentation qu'avoir un examen écrit.
[00:08:11] Speaker B: C'est tellement vrai. Tout le monde, c'est l'inverse. Ils sont comme, je voudrais mourir de.
[00:08:15] Speaker A: Faire une présentation orale.
[00:08:16] Speaker B: Mais c'est tellement le fun.
[00:08:18] Speaker A: Fait que je pense que c'est ça le petit déclic que j'ai eu. Puis après ça, je connaissais des personnes qui étaient au bac comme marquette à l'Université de Sherbrooke. Puis bon, j'étais quand même proche aussi de Québec, de l'Université Laval. Fait que j'ai regardé aussi mes options à Québec. Mais un petit peu comme toi, je pense que les stages et le programme coop ici à Sherbrooke étaient quand même très invitants. Fait que c'est comme ça que je me suis rendue à Sherbrooke. Mon grand-frère était déjà ici aussi. Fait que non, je suis vraiment contente de mon choix. Puis je pense que tu peux en témoigner qu'on était à notre troisième année, mais ça l'a flyé.
[00:08:50] Speaker B: C'est fou, hein? Mais là, tu as un peu parlé du programme co-op. Est-ce que tu veux nous mentionner où est-ce que tu as fait tes stages, dans quel domaine, etc.?
[00:08:59] Speaker A: Oui. En fait, mon premier stage, c'était pour une PME qui s'appelle Hot Buck. Shout out à Hot Buck, la gang de filles. J'ai vraiment aimé ça. C'est une petite PME, comme je l'ai dit, en Estrie, à Sherbrooke. J'étais en vente là-bas. Donc, tu sais, c'est ça, ils me traitaient vraiment comme un employé à temps plein, comme si je faisais partie de l'équipe depuis des années. Parce que, ben, une petite équipe, c'est ça que ça fait. On avait des tâches un petit peu partout. J'ai fait du démarchage à froid, j'ai fait des trade shows aussi, Toronto, Ottawa, Québec. Moi, j'ai vraiment touché à plusieurs aspects de la vente. J'ai vraiment aimé ça aussi. Puis après ça, notre deuxième stage, qui vient tout juste de se finir, qui est à l'été 2025, je suis retournée dans mon coin de pays, à Québec, puis je l'ai faite chez PepsiCo, qui est vraiment une plus grande organisation qu'Hotpok. Mais c'est ce que je voulais, voir la différence entre une PME puis une multinationale. Encore une fois, en vente, je pense que tu comprends que c'est un petit peu ça vers quoi je vais me diriger plus tard. Puis vraiment, mais c'est aussi une belle expérience. Honnêtement, j'ai fait du marché, on a fait des projets RH événementiels. Encore une fois, appris plein de choses. L'équipe était géniale, Québec-Est. Fait que j'en tire... qu'il y ait des bonnes conclusions. Puis surtout, on a appris plein de choses. Je pense que c'est ce qui est vraiment intéressant de faire des stages à l'Uni.
[00:10:27] Speaker B: Oui, vraiment. Je trouve qu'on apprend vraiment beaucoup sur le terrain, en complément de la théorie.
[00:10:32] Speaker A: Qu'On va en classe.
[00:10:32] Speaker B: C'est vraiment bien fait.
[00:10:34] Speaker A: Si je te relance la balle, qu'est-ce.
[00:10:35] Speaker B: Que t'as à dire? Mon premier stage est fait dans une firme d'ingénierie sur la Rive-Sud. J'étais dans une équipe de marketing. J'ai vraiment touché marketing numérique, création de contenu, gestion des réseaux sociaux, etc. J'ai vraiment apprécié ça et de voir un peu le côté client. Pour mon deuxième stage, J'y suis allée pour une agence. En fait, je voulais tester les deux, parce qu'en com' c'est quand même deux trucs qu'on fait en particulier. Puis là, en agence, je suis dans une agence de marketing numérique, également sur la Rive-Sud, où on fait vraiment de la publicité en ligne, donc sur un méta-ad, etc. Puis j'ai optimisé des comptes, créé des concepts publicitaires. Puis là, c'est vraiment là que j'ai trouver mon intérêt plus pour la créativité publicitaire. Donc je pense que c'est là que je m'enligne pour mon troisième stage.
[00:11:26] Speaker A: Ça te va bien. Je pense que niveau visuel, c'est quelque chose que t'aimes et t'es bonne aussi là-dedans.
[00:11:35] Speaker B: Avant qu'on se lance dans les questions du public, on a passé vite sur toi. On n'a pas parlé de toi. Parle-moi un petit peu de ta personnalité. T'as aussi mentionné que t'étais une étudiante athlète. Je le sais, moi, la réponse, il faudrait que tu le dises à nos fans.
[00:11:50] Speaker A: Je pense que niveau personnalité, tu me diras ce que tu en penses, mais ça me décrit quand même beaucoup parce que ça fait en sorte que mon horreur est toujours, toujours pleine. Je dirais que je suis une fille qui est organisée. Je n'ai pas le choix d'être organisée parce que je suis en variant natation et ça fait depuis que j'ai...
Depuis que j'ai 7 ans, la natation, ça m'occupe une place dans ma vie. Dans les dernières années, naturellement, ça m'en occupe encore plus. Mais mettons, une notion du temps, c'est un 7-8 entraînements dans l'eau par semaine plus 2 musculations d'une heure. Ça fait qu'on peut se dire un genre de 16-17 heures d'entraînement par semaine. Oui, ça fait que c'est beaucoup. Ça me décrit parce que je passe beaucoup de temps avec l'équipe de la NAT, mais je suis quand même une perfectionniste aussi. Je suis peut-être plus analytique que toi ou méthodique.
Je suis créative aussi, mais c'est moins fort chez moi. Mais oui, je dirais organisée à mes affaires, puis j'ai un horreur assez serrée, assez dense, mais j'aime ça comme ça. Puis c'est ça, j'aime ça donner mon 100 % partout. Je me décrirais comme ça.
[00:13:04] Speaker B: Je pense que c'est notre point commun de sauveurs bouquets. On va peut-être en parler dans un prochain épisode sur la gestion du temps, mais on est bonne là-dedans. Mais tu peux voir qu'on se complète vraiment bien, le ying et le yang, si je peux me permettre.
[00:13:15] Speaker A: Exactement. Avant de passer aux questions, peut-être qu'on peut expliquer, on l'a dit, les deux, on est en com-market, les deux, on est amis. mais on s'est rencontré en fait littéralement dans notre premier cours, on était ensemble en communication orale.
[00:13:29] Speaker B: Ouais, le premier cours, mais on a aussi fait un travail d'équipe ensemble à la première session, par hasard. Look at us now.
[00:13:36] Speaker A: Oui, c'est ça. Bref, amis d'université, amis en dehors de l'université aussi, on passe gros du temps à Sherbrooke ensemble, puis on s'entend bien, donc on espère que notre amitié va transparaître dans notre podcast.
[00:13:48] Speaker B: Et que ça soit contagieux.
[00:13:49] Speaker A: Exact. Fait que je te laisse y aller.
[00:13:51] Speaker B: Passons aux questions Instagram. On a déjà demandé à notre communauté des petites questions sur un peu des moustaphes, des craintes qu'on peut avoir, soit avant de rentrer à l'université ou des choses qu'on aurait aimé savoir avant de commencer. Donc, encore une fois, si jamais il faut aller vous abonner à notre compte Instagram, contrôle barron bob back, pour répondre à nos questions. À chaque épisode, on risque de faire une petite boîte aux questions. pour soit nos experts ou soit pour nous. Donc, n'hésitez pas, vous pouvez aussi nous écrire en DM sans problème pour qu'on puisse vraiment faire du contenu à votre image.
[00:14:23] Speaker A: Oui.
[00:14:23] Speaker B: Fait que veux-tu lire le premier? Oui.
[00:14:25] Speaker A: Donc, en fait, on nous a demandé c'était quoi les must-haves de l'université. Donc, tu sais, c'est quand même large, je pense, mais je dirais, bien, ça répond aussi à une deuxième question. Mais avoir des techniques d'études, être organisé, je pense que ça fait en sorte que ton université va se passer mieux, tu vas comme avoir la tête un petit peu... bien, à certains moments, tu vas avoir la tête pleine, mais ça va te permettre d'avoir cette liberté-là des fois.
Faire autre chose, avoir autre chose si la majorité du temps de ton horaire est planifié.
[00:14:57] Speaker B: Genre mettre des moments dans ton horaire pour aller avec tes amis. Parce que sinon, tu vas être comme « je vais continuer mon devoir ». L'équilibre c'est important en tout cas pour moi. Surtout que comme je l'ai mentionné, on est bonne pour avoir des horaires chargés. C'est vraiment important. C'est quoi toi tes techniques d'études? Parce qu'on le sait, on a pu le comprendre avec ma personnalité, je suis un peu plus… Dernière minute à la va-vite, ou en tout cas, du moins, j'essaie d'être perfectionniste, mais je me retrouve tout le temps un peu mal organisée. C'est quoi, toi, tes techniques pour les examens?
[00:15:28] Speaker A: C'est assez... En fait, dans tous mes cours, que ce soit dans des cours qui sont peut-être un petit peu plus pratiques ou théoriques, La majorité du temps, les professeurs, normalement, vont envoyer le PowerPoint avant ou après, peu importe. Mais je vais essayer de prendre des notes sur les slides que l'enseignant va donner. Puis après ça, rentre chez nous ou le lendemain, sur le lendemain, peu importe. Je vais vraiment retranscrire parce que j'aime ça écrire. Je sais qu'il y en a qui ne sont vraiment pas dans cette team, mais moi, papier et crayon, j'adore. puis j'ai l'impression que ça me refait voir la matière, je l'écris dans mes mots, puis après ça, avant un examen, bien, j'apprends la matière, je me répète la matière, puis je vais me parler à moi-même. Fait que je vais m'expliquer littéralement dans mon salon, je vais m'expliquer la matière, puis j'ai l'impression que si je suis capable de l'expliquer, puis je pense que ça a été dit aussi que quand tu l'expliques à quelqu'un, bien, ça prouve que comme tu es capable de vulgariser, tu es capable d'expliquer les termes puis les notions, puis c'est vraiment ça que je trouve qui fonctionne le mieux.
[00:16:25] Speaker B: Moi, je pense que je travaille à l'inverse de toi. Je prends mes notes à la main et on classe. Je vous le conseille. Ce n'est pas pour tout le monde, mais moi, j'apprécie vraiment ça.
[00:16:32] Speaker A: Mais des fois, ça va vite.
[00:16:33] Speaker B: Oui, mais justement, ça te fait enlever ce qui n'est pas important. Tu vas juste noter qu'est-ce qui est passionnant. Puis ensuite, si j'ai le temps, je vais retaper à l'ordinateur pour avoir plus d'informations. Sinon, j'adore reciter et pratiquer dans l'auto. Je fais beaucoup de routes. À chaque fin de semaine, je retourne sur la Rive-Sud ou pour aller au travail, etc. Je parle de ma matière, chapitre 1, puis ça y est, j'y pars. C'est vraiment une méthode que j'aime bien, qui rentabilise mon temps.
[00:17:00] Speaker A: Qui est très efficace aussi, surtout.
[00:17:02] Speaker B: Ça marche. Tu peux l'essayer. Peut-être pas pour tout le monde.
[00:17:05] Speaker A: Je te lance une prochaine question. Comment tu fais, selon toi, pour créer un sentiment d'appartenance à ton programme ou à ton université?
[00:17:14] Speaker B: Ça vaut que c'est une question que moi, j'avais la difficulté aussi en arrivant. Je pense que c'est quand même pertinent de s'impliquer. Moi, ce n'est pas quelque chose que j'ai fait en arrivant au bac. La première année, je trouvais que c'était beaucoup. Tu rentres et ils sont comme, implique-toi, implique-toi, jeu de la com, voici la comère et tout. Je parle en com, mais comme c'est notre bac. Puis je trouvais que c'était trop, que c'était un peu vite. Puis finalement, je pense que c'est quand même pertinent. Moi, j'ai réussi à m'impliquer plus tard, soit dans l'agence école, etc. On fait un petit micro-stage également. Puis ça m'a permis un peu de me rapprocher du campus. Mais sinon, plus niveau social, les bons vieux 5 à 8 à l'Université de Sherbrooke, ça aide. Sinon, n'ayez pas peur d'aller parler aux gens dans vos classes. Je suis quelqu'un quand même de réservé à premier abord. Mais c'est surtout dans les premiers travaux d'équipe, etc., vous allez vous former vos amis pour la vie. Mais c'est ça, je pense que… – Aller au cours. – Oui, aller au cours.
[00:18:11] Speaker A: – Surtout les premières semaines, je pense que c'est super important d'essayer de saisir ce qu'il y a dans ta classe. On en a parlé un petit peu tantôt, mais je veux dire, on s'est connus comme ça. Tu sais, des fois à l'université, on se dit comment on va faire pour se faire des amis. Surtout en région, tu es allé au secondaire dans ton coin et à l'école, tu gardes tes amis du secondaire aussi. Par moments, non, mais dans nos cas, c'était ça. On était encore super proches de nos amis du secondaire. Puis moi, c'était une crainte que je ne l'ai pas dit à personne, mais au fond de moi, j'étais comme, je ne me rappelle pas comment me faire des amis, sérieux. Ça fait longtemps que je ne me suis pas faite des nouvelles amies. Comment qu'on fait ça? Puis on riait tantôt, mais c'est exactement comme ça que c'est arrivé. On était dans notre cours de marketing, en gestion, puis je vous ai juste regardé.
[00:18:50] Speaker B: Puis je dis, est-ce qu'on se met ensemble?
[00:18:52] Speaker A: Je pense que c'est ça pour plusieurs personnes. J'écoutais les rookies parler dans le vestiaire de natation ce matin, et c'est exactement comme ça qu'ils ont formé leur première équipe aussi. Tu te retrouves avec des gens autour de toi qui te disent que tu n'as pas vraiment le choix et que tout le monde est dans la même situation. Donc, go, on se met ensemble.
[00:19:06] Speaker B: Sinon, un conseil non négligeable, allez à vos intégrations si vous avez la chance. Honnêtement, oui, pour se faire des amis, rencontrer des gens, mais également pour connaître les non-seigneurs eux. Mais juste après dans tes cours, faire Samuel, Jasmine. Parce que sinon t'arrives dans un monde où on a quand même des petites classes, mais tout de même, 50-60 personnes et t'es comme « oh, c'est qui eux? » Fait que juste avoir les noms, un peu dire « ok, ça c'était l'équipe de Shrek » ou quoi que ce soit, ça aide. Puis c'est toujours une expérience agréable. Moi je suis allée avec une de nos amies qui était dans mon équipe, sinon je pense que j'aurais eu la frousse un petit peu d'y aller.
[00:19:47] Speaker A: Mais comme j'ai dit tantôt, tout le monde est dans le même bateau.
[00:19:51] Speaker B: C'est ça.
[00:19:52] Speaker A: Tout le monde ne connaît personne. Je ne sais pas si ça se dit, mais je veux dire, on est dans la même situation. Une bonne quote. Exact.
[00:19:56] Speaker B: Tout le monde ne connaît personne. On passe à la prochaine question. On s'est fait demander, est-ce que la charge de travail est plus élevée qu'au cégep?
[00:20:08] Speaker A: Je pense que pour plusieurs questions aujourd'hui, la réponse, ça va être ça dépend. Je suis passée justement du cégep en sciences nat, que bon, j'avais des exercices de maths, chimie, physique à faire à tous les soirs. Puis ça dépend de ton bac, ça dépend de qu'est-ce que t'as fait au cégep. Mais mettons que je parle pour moi, je pense que l'université est différente du cégep par les lectures, puis la préparation à faire au cours, puis la préparation après. Comme là, je n'ai plus nécessairement à part dans nos cours de finance ou de stats ce qu'on avait.
[00:20:38] Speaker B: Les devoirs écrits.
[00:20:39] Speaker A: Exact. C'est plus la compréhension que si jamais, tu sais, ça va vite. Si jamais tu ne comprends pas la matière, est-ce que c'est parce que tu n'as pas assez fait de préparation avant ou c'est parce que tu n'en as pas assez fait après? C'est vraiment par toi-même. Tu es laissé un petit peu à toi-même. Je ne sais pas ce que tu en penses.
[00:20:56] Speaker B: J'avais un peu quand même la même impression au cégep. C'est quand même une transition entre le secondaire où il tape dans le dos et il dit « t'es bon mon homme » à l'université. Je pense que ça va vraiment dépendre. Nous, c'est surtout beaucoup des projets, surtout plus t'avances dans le bac. Présentement, on n'a aucun cours avec des examens. C'est presque juste des projets. Si tu décides de faire tes quatre projets pour tes cinq cours deux semaines avant quand ils sont tous à remettre à peu près en même temps, C'est un peu la panique, c'est de prendre de l'avance. Surtout en ce moment, de se mettre avec des gens que tu sais que c'est la même éthique de travail. On vise le même pourcentage à la fin de note.
[00:21:40] Speaker A: Si je peux renchérir sur les travaux d'équipe, parce que là, on parle dans notre bac, parce qu'on n'est pas dans un génie ni un droit, mais on a beaucoup de travaux d'équipe, que ce soit en gestion ou en sciences humaines. Puis tu l'as dit, essayer de trouver des personnes qui ont la même éthique de travail que toi, puis que vous allez vous compléter. Je pense qu'on a été chanceuse là-dessus parce qu'on est tombées justement sur l'une et l'autre, puis nos autres amis du bac. qu'on n'a pas toutes les mêmes forces, pas toutes les mêmes faiblesses, mais au bout de la ligne, on est tout le temps comme toutes contentes du résultat. Puis ce n'est pas toujours ça. Puis des fois, il va y avoir des cours que l'équipe va être obligatoire, puis ce n'est pas toi qui vas choisir. Ça apporte aussi son lot de défis. Mais je comprends un peu les profs de faire ça parce que ça représente peut-être un petit peu la vraie vie, dans le sens que tes collègues, tu ne les choisiras pas toujours.
[00:22:29] Speaker B: Ce n'est pas mes préférées, par exemple, ces travaux-là.
[00:22:32] Speaker A: Mais en même temps, ça nous fait.
[00:22:34] Speaker B: Connaître des nouvelles personnes.
[00:22:35] Speaker A: Des fois, il faut avoir des belles surprises.
[00:22:37] Speaker B: Des mauvaises, parfois.
[00:22:39] Speaker A: Puis, dirais-tu que les profs à l'université sont accessibles et disponibles pour les élèves?
[00:22:45] Speaker B: La plupart, oui. Je dirais surtout les chargés de cours en début de bac, ils ont comme des plages horaires, ils sont disponibles pour répondre aux questions. Mais la meilleure façon de te faire reconnaître par les profs, c'est de participer, de lever la main, aller voir à la pause, à la fin du cours si tu as des questions. Comme j'ai pu le dire, moi je suis une grande gênée, ça fait que ce n'est pas dans mon truc d'aller voir les profs en classe, mais honnêtement, ils sont très disponibles. Ça, par courriel, par Teams, je parle de notre cas, mais je pense que c'est quand même assez général, surtout pour l'Université de Sherbrooke. que les profs sont accessibles parce que ce n'est pas des énormes amphithéâtres de 500 personnes. Je pense qu'ils sont capables de répondre à mes deux petites questions. Moi, ça a vraiment bien été. Pour ça, je n'ai jamais eu de problème avec un professeur pour des questions.
[00:23:27] Speaker A: Ou quoi que ce soit. Ça reste des humains, dans le sens que quand ils voient que t'es assis dans son cours, que t'es là, pas juste de participer, mais que t'es présent, t'es attentif, ils s'en rappellent. C'est pas des ordinateurs. Je pense que quand tu donnes une chance, ça leur permet de te donner une chance si t'en as besoin aussi plus tard. Comme t'as dit, nous, en tout cas, on n'est pas une grande cohorte, puis c'est arrivé qu'on ait un prof deux fois, puis ils s'en rappellent, nous, dans le sens... La majorité du temps, ils veulent apprendre à te connaître aussi, puis ils veulent être proches de leurs étudiants. Puis comme tu le dis, à toutes les fois que j'ai écrit à un enseignant ou à un chargé de cours, il m'a tout le temps répondu, puis j'ai tout le temps eu l'aide nécessaire. Je pense juste qu'il viendra pas te chercher par le bras, c'est toi qu'il faut qu'il fasse l'effort d'aller le contacter. Mais quand c'est nécessaire, je pense pas que c'est le plus gros effort du monde.
[00:24:21] Speaker B: Ça va. Puis habituellement, dans les plans de cours, ils écrivent leur période. Mettons, je suis à mon bureau le lundi entre 3h et 6h. Fait que si jamais t'es vraiment dans la croûte, tu peux aller directement les voir.
[00:24:32] Speaker A: Mais pour répondre à la question, on a des bonnes expériences de prof et de chargé de cours. Je te laisse y aller pour la prochaine.
[00:24:40] Speaker B: Est-ce qu'on devrait, en fait la personne demande si elle devrait travailler pendant sa session d'école, si oui combien d'heures, pour payer ses factures aussi.
[00:24:49] Speaker A: Comme j'ai dit tantôt, on allait utiliser souvent le plate-terme « sa départ ».
Parce qu'au début, ça peut paraître très overwhelming d'avoir l'école, la job. C'est beaucoup de nouveautés. Mais je pense que quand tu t'habitues à ta routine, quand tu es organisé, planifié, je pense que ça se fait. En tout cas, dans notre bac, la majorité des étudiants ont un travail à temps partiel. Je ne te dis pas à temps plein parce qu'il faut que tu ailles à tes cours, naturellement. Mais on va d'ailleurs avoir un épisode là-dessus. Il y a comme l'équilibre travail-école, parce que tout bon étudiant veut avoir, comme tu dis, un petit coussin financier, ce qui est vraiment normal.
[00:25:31] Speaker B: Puis aussi payer son appartement.
[00:25:32] Speaker A: C'est les ménages à Sherbrooke qui sont la plupart. C'est des frais de plus. Puis je pense qu'est-ce qui est intéressant à Sherbrooke, c'est les stages. Il y en a beaucoup qui ne travaillent pas durant la session, mais comme les non-stages en échange en communication sont rénumérés, ils se basent là-dessus pour pouvoir payer leurs frais durant la session qu'ils sont à l'école, ce qui est une bonne option aussi.
[00:25:54] Speaker B: C'est vraiment les stages co-op, on vous le conseille à fond. Prochaine question, est-ce que je vais trouver mon local ou ma faculté sans me perdre? Surtout sur le campus ici, au moins tout est proche, mettons, versus à Montréal, de mon expérience, où les pavillons sont à 15 minutes de marche, c'est même pas au même endroit dans la ville.
[00:26:16] Speaker A: Entre un et l'autre. Nous, c'est vraiment comme un campus. On va parler pour le campus principal, parce qu'il y a à Sherbrooke, il y a le campus principal, le campus de la santé, il y a celui à Longueuil, Chicoutimi. Je pense qu'il y a un MED à Chicoutimi, il y en a peut-être d'autres, mais je ne m'avancerai pas parce que je ne suis pas certaine. Mais pour ce qui est du campus principal, ça le dit, c'est un campus où toutes les facultés sont à l'intérieur. Tu ne peux pas vraiment te perdre, mais tu peux aller sur le site web et tout est clair.
[00:26:46] Speaker B: Dans ton agenda, il y a une carte.
[00:26:49] Speaker A: Mais je ne pense pas que tu peux te perdre. Puis normalement, proche de chaque faculté, il y a aussi un stationnement.
Tu peux y aller. On suggère le transport en commun. On y reviendra encore une fois. Mais normalement, ça se fait assez bien. Je te conseille d'aller voir avant ta première journée. Oui, ta faculté, mais même si tu veux rentrer à l'intérieur, il y a les portes ouvertes aussi à l'automne. Ça permet de voir tout ça.
[00:27:18] Speaker B: Même à chaque début de session, juste nous, il y a deux semaines, on n'a pas trouvé notre local. On a dû chercher sur les cartes. Donc, tu peux le faire avant chaque session.
[00:27:26] Speaker A: C'est vraiment pas gênant.
[00:27:27] Speaker B: Ben non, c'est ça, aller promener, voir si on est où tes locaux pour juste faciliter un petit peu ta routine par la suite.
[00:27:32] Speaker A: Exact. La charge de travail, Camille, à l'université, ça ressemble à quoi?
[00:27:38] Speaker B: On revient sur le « ça dépend ». Je dirais qu'un 3 crédits, habituellement un bac, ça dépend si t'es en APP ou quoi que ce soit, mais un bac normal.
[00:27:49] Speaker A: Tu veux-tu expliquer c'est quoi APP pour.
[00:27:50] Speaker B: Les gens qui… Certains bacs, je pense à certains génies, ergo, etc., ça fonctionne par APP, ça fait que chaque cours est comme un deux semaines intensifs, toute ta semaine, c'est ça. Je sais pas, moi tu vois, je vais dire un exemple qui a pas rapport parce que j'ai aucune connaissance en génie, mais genre les oiseaux. Puis là, tu vois, c'est pendant deux semaines, puis tu as un examen à la fin des deux semaines, puis tu as des ateliers avec tes profs, etc., plus précis. Mais là, nous, ce n'est pas comme ça que ça fonctionne. C'est vraiment plus classique. Exact. Alors, habituellement, tu as cinq cours dans ta session. C'est trois heures par cours. Des fois, il y a des petits ateliers qui viennent avec chacun d'eux pour les cours plus difficiles. Puis, ça te demande, habituellement, ça te dit trois heures en classe, trois heures à la maison. Est-ce que c'est ça toute l'année? Non. Au début, ça va être plus léger. Vers la mi-session, fin de session, plus lourd évidemment. Mais c'est vraiment, t'sais, un horaire d'université, si tu regardes juste tes cours, t'es loose là. T'as de la place dans ta semaine pour faire autre chose, mais faut que tu te gardes en tête que ça va être à peu près le double à chaque semaine. Toutes tes heures de cours vont être à dédoubler pour aller à la maison.
[00:28:52] Speaker A: Je pense que c'est ça le petit enjeu de l'université. Mettons que tu reçois ton horaire quand t'es première année, tu te dis « Oh mon Dieu, j'ai du lousse, je vais avoir le temps de faire plein de choses ». Mais il faut que tu sois intelligent avec ton temps et que tu t'en gardes pour justement tes projets de session quand vient le temps de trouver une plage horaire avec tes coéquipiers. il faut que tu sois quelque peu disponible parce que vous avez besoin de vous parler puis de prendre du temps ensemble pour monter votre projet. Fait que je pense que c'est ça, ça peut paraître comme vraiment liberté et plaisir.
[00:29:24] Speaker B: Genre versus certains horaires de cégep où t'étais là de 8 à 6, comme.
[00:29:29] Speaker A: Là c'est vraiment plus tranquille. Tu sais, nous, mettons, à titre indicatif, souvent, on avait comme peut-être une journée avec deux cours, mais quand on avait ça, on avait une journée de congé ou sinon environ un cours par jour, un cours de trois heures, ce qui peut sembler pas beaucoup, mais tu prends l'autre trois heures dans ta journée pour faire ta préparation. En tout cas, pour ma part. Mais encore une fois, il y a des cours qui vont te dire que ça prend trois ans, trois heures, ça ne te prendra pas trois heures.
[00:29:52] Speaker B: Ça va prendre 15 minutes.
[00:29:53] Speaker A: Exactement. Ou au contraire, il y en a d'autres que ça va être beaucoup de préparation. Je pense à la révision de texte, les gros cours d'exercice.
[00:30:00] Speaker B: Mais tu sais, les profs habituellement, ils savent c'est quoi que leur cours demande et ils vont le préciser.
[00:30:04] Speaker A: Bon point.
[00:30:06] Speaker B: Parfait. Fait que là, on aurait terminé nos questions de notre communauté. Là, je vous ai dit au début du podcast qu'on était basé sur les fails. Ne quoi pas faire. Pas faire les mêmes erreurs que nous. Puis là, j'aurais envie que tu nous partages ton meilleur fail de l'université.
[00:30:21] Speaker A: Oui. Bien, on...
retourne à ma première année, je pense que c'est ça, c'est encore plus drôle. Puis en plus t'en as parlé tantôt. Allez à vos initiations, allez à vos intégrations. Combien de fois on entend ça, surtout, puis même moi je le dis, je pense justement à mes amis proches, ma famille qui rentre à l'université, je leur dis aille va à tes intègres, c'est le moment parfait pour connaître du monde.
[00:30:46] Speaker B: Pour... Même, je te coupe, sur les réseaux sociaux en ce moment, moi, je vois plein de TikTokers qui rentrent à l'université et qui sont genre, « Get ready with me pour aller à mes interêts. » Genre, c'est vraiment un big thing. Mais vas-y, je te… vas-y.
[00:30:59] Speaker A: Fait que bon, on m'avait dit d'aller à l'uni… d'aller à mes intérêts, pardon. Sauf qu'il faut comprendre que je viens d'une famille et je ne m'en plains pas. On est des grands voyageurs. Et là, lucky. Oui.
Ben moi, je ne suis pas allée à mes intégrations.
[00:31:18] Speaker B: Mal à l'aise, Laura, mal à l'aise.
[00:31:20] Speaker A: Parce qu'on était à Hawaï cette semaine-là. Donc, on était partie toute ma famille, vraiment en mode voyage familial. Puis, j'ai manqué mes intégrations. Je suis arrivée à Sherbrooke le dimanche, quand on commençait sûrement le lundi matin. Pis ben, je suis pas morte, j'ai quand même des amis, ben je pense, je m'assume.
[00:31:40] Speaker B: Non, c'est pas vrai.
[00:31:41] Speaker A: Définitivement que si j'avais à le refaire, est-ce que je choisirais le voyage? Sûrement. Mais je pense que si j'avais eu la chance de faire les deux, définitivement j'aurais fait les deux. Puis c'est ça, c'est le petit, le seul petit stress que ça m'a ajouté, c'est que c'était que des nouveaux visages de lundi matin à ma rentrée universitaire. Mais comme j'ai dit, je ne suis pas morte, puis je pense que j'ai su faire ma place au sein de la cohorte du bac. Mais oui, pas d'intégration pour moi à Sherbrooke.
[00:32:09] Speaker B: Est-ce que dans les premières semaines, tu avais le gros faux mot de ne pas connaître personne, de ne pas être allée? Je ne me rappelle pas si ça parlait juste de ça, genre la victoire de l'équipe, je ne me rappelle même plus qui a gagné.
[00:32:19] Speaker A: Oui, définitivement, je n'ai jamais su qui a gagné, donc sûrement pas. Mais je me rappelle qu'il y avait déjà des gangs d'amis qui étaient faits. Surtout parce que je ne connais pas les autres bacs, mais je voyais qui se connaissait et qui se connaissait moins. Mais j'ai un tempérament quand même. Juste avec la natation, je veux dire, ça fait en sorte que j'avais mes amis de natation, donc j'étais capable de me rattacher avec eux et je passe quand même beaucoup de temps aussi avec eux. Puis ça ne me dérangeait pas plus que ça. Puis je me disais aussi que dans les travaux d'équipe, je n'aurais pas le choix de connaître d'autres personnes. Fait que ce n'était pas comme un énorme stress. Mais je me rappelle, oui, que je me disais, ah, définitivement, eux, ils se sont croisés. Ils se sont croisés aux intests que moi, je n'y étais pas.
[00:33:03] Speaker B: Je ne savais pas qu'il y avait vomi la veille.
[00:33:05] Speaker A: C'est ça.
[00:33:06] Speaker B: Ça t'arrivait en classe un peu confus. Parfait.
[00:33:08] Speaker A: Je te relance la balle.
[00:33:09] Speaker B: Ouais. Vas-y. J'étais un peu gênée.
[00:33:12] Speaker A: C'est drôle.
[00:33:12] Speaker B: Mais on retourne également à ma première année parce qu'il y a l'épisode spécial Rookie.
[00:33:16] Speaker A: Mets-nous en contexte.
[00:33:17] Speaker B: Première journée d'université. On se rappelle, je ne viens pas de Sherbrooke. Je ne suis jamais allée sur le campus, surtout pas en voiture. Je suis allée une fois avec mes parents. On a fait le tour en genre 15 minutes.
Et là, mon premier cours, c'est communication orale, d'ailleurs un de mes cours préférés du bac qu'on a eu ensemble. Mais c'était un cours pas obligatoire, puis qu'il était avec des troisième années. Toutes les gens que je connaissais des intègres, justement, ils n'étaient pas dans ma classe. Fait que là, j'étais comme... très stressée encore plus.
[00:33:49] Speaker A: C'est ça. Si je peux me permettre, j'étais dans le cours aussi, puis c'était communication, c'était une communication orale, c'était un cours à choix.
[00:33:56] Speaker B: Oui, c'est ça. Mais on n'avait pas d'autre choix.
[00:33:57] Speaker A: C'est ça. Nous, on nous l'avait imposé. Fait que moi, je ne savais même pas. Encore une fois, j'étais peut-être perdue, mais je ne savais même pas qu'on allait être avec des troisième années.
[00:34:05] Speaker B: Oui, moi, j'avais regardé la liste parce que justement, j'étais allée aux intègres, puis j'étais comme, ah, je vais regarder qui est avec moi, puis j'étais comme… Personne. Personne. Puis après, je regardais un petit peu leurs profils, puis j'étais comme, ah, c'est le fun qu'ils sont formés. finissant. J'allais à ce cours-là à genre une heure, mais là à savoir que j'allais en voiture, j'habite à quelques minutes du campus en voiture quand même, et j'avais acheté ma passe de stationnement comme une grande fille, la passe jaune, la classique passe jaune.
[00:34:34] Speaker A: Est-ce que tu veux expliquer Je peux.
[00:34:35] Speaker B: Me stationner avec la passe jaune partout, dans tous les stationnements jaunes. C'est le plus commun. Il y en a partout et je peux me mettre où je veux. Les parkings rouges, c'est pour les résidences. Ceux-là, on n'a pas vraiment accès, ils sont un peu reculés. Puis les parkings verts, c'est ceux qui ont comme de la royauté, si je peux me permettre.
la haute société qui, je ne sais même pas comment tu fais pour avoir une passe verte, puis ça te sécurise une place devant une certaine faculté, genre le parking P7, puis c'est vert, puis c'est toujours pas mal vide, puis t'es sûre d'avoir une place parce que t'as payé je ne sais pas trop combien. Donc moi j'ai ma passe jaune comme tout le monde qui vient en voiture. Et là j'arrive pour mon cours quand même un peu d'avance, mais pas une heure d'avance parce qu'on se rappelle que je ne suis pas organisée, je l'ai déjà dit quelques fois. Il n'y a pas de parking. Il n'y en a pas. Je fais tous les parkings. En fait, je ne dois pas faire tous les parkings, mais je ne connais pas le campus. Je ne connais pas les tricks and tips encore. Alors je tourne en rond, je tourne en rond, je vois le l'heure qui défile et là c'est l'angoisse. Je décide d'aller me parquer dans une section verte, parce que je vois bien que je n'ai pas le droit, c'est écrit vert, je ne suis pas nounoune. Sinon, je vais arriver en retard à mon premier cours devant les troisième année, malheur. Je me stationne pas loin de mon cours, dans une zone verte. Je m'en vais à ma classe, super cours, génial. Je me dis à la pause, je vais aller changer ma voiture de place. C'est ce que j'ai fait. En plus, une heure après, parce que c'est un premier cours qui ne dure pas tout le temps.
et j'avais une belle surprise dans mon pare-brise en arrivant. Un beau ticket, bien salé, genre 60 quelques dollars.
[00:36:12] Speaker A: Puis ça l'a augmenté, en plus ça l'augmente à chaque année.
[00:36:14] Speaker B: Exactement. Fait que, service de l'université, sécurité, je comprends votre travail, on vous apprécie, mais là, c'était vraiment méchant. Pauvre moi, j'étais une petite cocotte d'amour.
[00:36:25] Speaker A: J'Avais… Je le savais pas.
[00:36:26] Speaker B: Tu pourrais écrire, genre, scan sur genre, première journée de la pauvre, elle a acheté son parking, mais pas le bon, tu sais.
C'était vraiment pas glorieux de ma part. Après, j'étais un petit peu traumatisée. Je voulais plus me stationner à l'université malgré que j'avais pris ma passe. J'ai fait mon deuil.
[00:36:41] Speaker A: T'as boycotté la rondeau un petit peu.
[00:36:42] Speaker B: Exactement, j'ai boycotté. J'ai dû utiliser ma passe d'autobus, mais faites ça. Pour de vrai, la première semaine, en plus avec... Les collations des grades, ils bordent des parkings, le monde, ils ne savent pas où ils s'en vont. La session d'automne, prenez votre carte d'autobus si vous avez la chance de ne pas habiter trop, trop loin. Puis c'est gratuit pour les étudiants.
[00:37:00] Speaker A: Exact, avec ta carte étudiante. Puis tu as mentionné les collations des grades. Honnêtement, au mois de septembre, parce qu'il faut comprendre que, comme on l'a dit tantôt, il y a des parkings devant chaque faculté. Mais bon, nous, on parlait, Camille a eu son ticket en lettres de sciences humaines.
[00:37:17] Speaker B: Non, je l'ai eu en droit. C'est là qu'il y a un gros, gros, gros stationnement de verre. Est-ce que c'est aussi gros que ça? Je pense que je ne savais pas le stationnement de la Flèche, malaise. Mais il est dur à trouver celui-là.
[00:37:31] Speaker A: Oui, c'est vrai. Mais c'est ce que j'allais dire, c'est parce qu'à la Flèche, vu que c'est comme la faculté est vraiment comme dans le bas du campus, une fois que tu es rendu là, tu es comme loin de tous les autres.
[00:37:41] Speaker B: Tu es coincé. Exact.
[00:37:41] Speaker A: Fait que quand tu es vraiment à la dernière minute avant ton cours, puis il n'y a pas de parking à la Flèche, ouf! Bonne chance. Il faut que tu ailles en science, que tu marches.
[00:37:49] Speaker B: C'est encore un problème à ce jour.
[00:37:50] Speaker A: Prenez l'autobus, c'est simple. Mais j'allais dire, Collation des grades, ils ferment beaucoup de stationnements. Je vous dirais jusqu'à fin septembre, je pense que cette année, c'est comme le 20 septembre la Collation. Je pense que, pas je pense, définitivement, venez en autobus. C'est tellement plus simple de ne pas se soucier d'avoir ta passe de payer ou les orateurs, si tu te rends compte de ça, je pense que oui. Orodateurs peut-être? En tout cas, venez en autobus. Il y a beaucoup de trajets à Sherbrooke. C'est simple d'utilisation. Puis en plus, avec la carte étudiante, c'est simple et gratuit.
[00:38:24] Speaker B: Campus vert, donc venez d'une façon écoresponsable.
[00:38:28] Speaker A: Tu veux-tu nous dire, Kam, à quoi on peut s'attendre pour la suite de notre podcast? À quoi ça va ressembler? Expliquez un petit peu à nos auditeurs, justement, à quoi ils peuvent s'attendre.
[00:38:39] Speaker B: Dans les prochaines semaines, vous allez voir des nouveaux épisodes de la saison 1 de Control Back avec des invités. Je vais faire des petits scoops en direct sur comment gérer son budget, les associations étudiantes, comment faire bien se nourrir.
[00:38:56] Speaker A: On a parlé aussi de l'équilibre entre travail, école.
[00:39:00] Speaker B: On va avoir une douzaine d'épisodes sur plusieurs sujets. Le plus important, ça va être d'avoir votre participation sur notre compte Instagram. À chaque épisode, on va avoir une espèce de section comme aujourd'hui, peut-être un peu plus courte, où il va y avoir des questions de la part des auditeurs. À chaque fois, on va faire une petite story avec le sujet. Vous nous dites toutes les questions que vous avez pour cet invité et on va essayer d'y répondre. dans l'épisode.
[00:39:25] Speaker A: Exact, fait que la majorité du temps, on va sûrement annoncer en petite primeur, quelques jours avant notre tournage, pour que, bien en fait, sur notre Instagram, on va annoncer le sujet de la capsule pour que vous soyez capables, comme Cam a dit, de nous poser vos questions. Puis interagissez aussi avec nous. Puis si vous avez des idées ou des demandes spéciales à quoi en faire un podcast, ce serait super intéressant et super gentil de votre part aussi, parce que c'est notre but de pouvoir vous offrir quelque chose que vous allez réellement écouter.
[00:39:55] Speaker B: Puis on va peut-être même aussi mettre des petits extraits de contenu en primeur et tout.
[00:39:59] Speaker A: Abonnez-vous.
[00:40:00] Speaker B: Contrôle, comme la touche contrôle, barre en bas.
[00:40:03] Speaker A: BAC.
[00:40:04] Speaker B: Juste là, sur l'écran.
[00:40:06] Speaker A: Mais pas BAC genre... Pas genre BAC. Pas la touche BAC.
[00:40:11] Speaker B: BAC genre BAC à l'oréal. Exactement. Quel beau jeu de mots, hein? Merci Samy. Fait que c'est pas mal tout pour notre premier épisode. Je suis déjà nostalgique, ça l'a passé si vite. J'ai hâte à notre prochain tournage.
[00:40:22] Speaker A: Oui.
[00:40:22] Speaker B: Fait qu'on se dit à la prochaine. Merci d'avoir fait ça avec moi. Yes! Bye! Bye!