Episode Transcript
[00:00:00] Speaker A: Mon anecdote en tant que membre de la commerce, c'était l'année passée, dans le fond, on organisait comme une sorte de soirée kébalastique. Demi-mois, c'était kébalastique. Mais il y avait plein d'autres facultés qui le faisaient. Il y avait la FIRST, je pense, qui le faisait. Donc là, on était comme, pourquoi pas, nous, ça, on va le faire pour notre faculté. Puis, bref, on a essayé de promouvoir cet événement-là. On a essayé de mettre plein d'amour à cet événement-là. Malheureusement, il y a peu assez de gens qui sont inscrits. Puis nous, on avait servi une salle, puis on avait parlé une fois avec le propriétaire de la cabane à sucre, puis finalement, on avait comme dépassé la date limite pour annuler. Donc là, on a dû quand même payer la salle, qui était quand même un très gros, un bon montant astronomique, comme vraiment très gros montant, quand même. Puis même si personne ne s'est pointé, on a quand même dû se payer. Et ça, c'est le plus gros fail, je crois, monétaire de la commerce.
[00:01:03] Speaker B: Allô tout le monde, bienvenue au deuxième épisode du podcast Control Back. Comment ça va Laura aujourd'hui?
[00:01:08] Speaker C: Je vais super bien et toi?
[00:01:09] Speaker B: Oui. Donc aujourd'hui, on a accueilli Emery qui est un étudiant en communication marketing comme nous, en troisième année des bacs, mais il s'implique également à la FIRST. Il est coordonnateur général, si je ne me trompe pas. Donc, on a vraiment pu parler de plusieurs services.
[00:01:24] Speaker C: Oui, en fait, notre discussion, c'était vraiment pour que notre communauté étudiante soit au courant des services qu'offre la FERS, parce que la plupart d'entre nous, en fait, les étudiants de premier cycle de l'Université de Sherbrooke, on paie un montant pour recevoir les services, dont unilogies, les agendas, en fait, on peut emprunter aussi de l'équipement, l'escouade 5 à 8, bref, on a parlé de plein de services avec Émerie, puis c'était vraiment une belle conversation.
[00:01:51] Speaker B: C'est surtout que la plupart des services, on ne les connaissait même pas. Un peu gênant de notre part. Ça a été vraiment une belle découverte de notre côté aussi. Exact.
[00:01:57] Speaker C: Fait qu'on vous souhaite un bon épisode. Bye bye.
[00:02:01] Speaker B: Donc, bonjour tout le monde et bienvenue au deuxième épisode de Contrôle BAC. Aujourd'hui, on a un invité très spécial. Donc, salut Emery, ça va bien?
[00:02:08] Speaker D: Ça va bien et vous?
[00:02:09] Speaker C: Oui, merci. En fait, on dit spécial parce qu'on étudie dans le même BAC. Je ne vais pas en dire trop. On aimerait ça que tu te présentes toi-même, ton parcours académique, comment tu t'es rendu à l'Université de Sherbrooke en communication marketing. Fait que je te laisse y aller.
[00:02:25] Speaker D: Parfait, moi c'est Emery Normand, je suis étudiant en communication marketing à l'Université de Sherbrooke. J'ai commencé mes études supérieures au cégep de l'Apocatière, qui est dans le Bas-Saint-Laurent.
[00:02:35] Speaker B: Je n'ai aucune idée.
[00:02:37] Speaker C: Il y a l'ITA là-bas?
[00:02:41] Speaker D: Oui, exact. C'est ça, c'est juste à côté en fait, mais il y a aussi un cégep dans la même ville. Et donc, j'ai fait mes études là-bas, donc en art, lettres et communications, options, médias. Donc, voilà, je tiens un peu à tout ce qui est journalisme, radio, télé, tout ça. Ça a été super intéressant. À la base, je voulais faire justement du journalisme quand je me suis dit je vais aller au cégep. Et j'ai appris à ne pas full aimer le journalisme une fois que j'ai fini mon diplôme. Donc, je suis allé en communication marketing parce qu'une autre chose que j'adore beaucoup, en fait, des communications, c'est tout ce qui est publicité, en fait. Ça, c'est quelque chose, à la base, justement, que je voulais essayer de toucher, que ce soit de la création aussi. Donc, avec, par exemple, les outils Photoshop, Premiere Pro, tout ça, Canva. Et justement, me voilà, me voilà ici. La rédaction aussi, j'aime beaucoup ça. Donc, c'est pour ça que je fit bien, je pense, en communication marketing.
[00:03:36] Speaker C: Ah super! Puis si je peux me permettre de te mentionner avoir plus ou moins aimé le journalisme, est-ce que tu veux nous dire pourquoi?
[00:03:44] Speaker B: En plus, on a encore des cours un peu de journalisme là, est-ce que c'est...
[00:03:47] Speaker D: C'est pas faux, oui c'est vrai. En fait, je pense le principal En jeu, je vais dire, avec le journalisme, c'est que j'ai vraiment l'impression que les conditions de travail sont vraiment laide. Je ne sais pas exactement comment le.
[00:04:00] Speaker B: Dire, mais ça reste que... Laide, c'est le parfait mot.
[00:04:02] Speaker D: C'est juste ça. C'est pour ça que ça ne m'attirait pas. Je veux dire, ça reste que la job de journaliste, c'est super intéressant. Mais après, je me dis, est-ce que je ferais ça genre 20, 30 ans dans ma vie? Je ne pense pas. Faire ça quelques années, pourquoi pas? Mais au final, je me suis dit, je vais aller vers d'autres affaires qui peuvent m'intéresser. Puis me voilà.
[00:04:20] Speaker C: Ça a plusieurs formes aussi, le journalisme. Ce n'est pas juste dans des grandes chaînes comme Radio Cannes, TVA.
[00:04:28] Speaker B: Est-ce que tu aimes ton bac? Jusqu'à maintenant, tu es rendu en troisième année, donc j'ose croire que ce n'est pas si pire, mais est-ce que tu t'y plais bien?
[00:04:34] Speaker D: Je m'y plais bien, évidemment. C'est quelque chose que j'adore encore une fois. Ça arrive qu'il y ait des cours qui sont un peu répétitifs. Il y en a qui sont un peu plus ennuyants que d'autres. Ça arrive, mais je pense que c'est ça pour tous les baccalauréats.
Non, pour l'instant c'est un succès, puis on va voir avec la maîtrise qu'est-ce que je fais.
[00:04:51] Speaker B: Est-ce que tu fais une maîtrise? Laquelle en fait?
[00:04:54] Speaker D: Je n'ai pas un chemin tracé direct, mais je pense aller en communication, donc relations publiques, par exemple à ULaval ou l'UQAM. Peut-être aussi au HEC en marketing en fait.
[00:05:07] Speaker C: Cool. Puis là, tu nous as mentionné que t'étais plus vers le bas du fleuve. Qu'est-ce qui t'a apporté à Sherbrooke? Le bac en soit, comme marquette, ou on s'entend que c'est une certaine distance entre les deux villes?
[00:05:18] Speaker D: Effectivement, c'est vrai que c'est très loin. On est à environ trois heures et demie de route d'ici, donc c'est déjà un bail. Mais il y a deux principales raisons, je dirais, de pourquoi je suis venu à Sherbrooke. Donc oui, tu l'as mentionné, le bac en communication marketing. Donc quand j'ai vu la description du programme, ça avait l'air super intéressant. Et deuxièmement, mon frère a déjà fait son bac à l'université de Sherbrooke. Donc déjà, il m'a dit qu'il avait adoré, que c'était vraiment une ville Espèce de ville qui fait pas trop ville non plus. Moi qui viens plus de la région, c'est quelque chose que j'ai déjà laissé. J'adore.
[00:05:52] Speaker C: Parfait. Je te laisse, Luc.
[00:05:55] Speaker B: Est-ce que tu t'impliquais déjà quand tu étais au secondaire, au cégep ou c'est seulement à l'université que tu as décidé de commencer ça?
[00:06:03] Speaker D: J'ai commencé au secondaire, je dirais, théoriquement. Donc, j'ai été dans le comité de la création de l'album de Finissant, en fait. Donc, ça a commencé de même. Et au Cégep, je me suis un peu impliqué aussi. Donc, j'ai été représentant du programme d'hors-lettre et communication Option Média. J'ai aussi starté, bien en fait, je voulais mentionner un peu avant qu'on tourne, mais que j'ai débuté deux podcasts, en fait, à mon Cégep. Donc, un qui traitait plus de la santé mentale des personnes étudiantes, et l'autre qui traitait un peu des nouvelles à l'intérieur du cégep. Donc, ça déjà là, c'est un peu d'implication. Ça fait le tour, disons, pour le cégep, mais à l'université, j'ai rejoint le comité de mobilisation de la GFLESH, donc tous ceux qui essayent de coordonner, organiser les grèves et les différents moments de mobilisation étudiante, je vais dire.
[00:06:57] Speaker C: Parce que là, je pense que, bonne animatrice que nous sommes, on n'a même pas annoncé en fait pourquoi qu'on voulait discuter avec toi aujourd'hui.
[00:07:05] Speaker B: Mais peut-être que c'est dans l'intro.
[00:07:06] Speaker C: Ouais, mais on peut le répéter là, c'est que t'es membre de la FEUS. Encore une fois, on va te laisser définir c'est quoi, mais c'est pour ça qu'on voulait discuter. Je pense que c'est une belle implication universitaire. Est-ce que tu veux nous dire, dans tes mots à toi, pour quelqu'un comme nous, qui a peut-être pas vraiment idée c'est quoi?
[00:07:26] Speaker B: On sait que c'est une des plus grosses.
[00:07:29] Speaker C: Moi, de ce que je sais, tu me diras après. Je sais que ça représente en fait les étudiants de l'Université de Sherbrooke. C'est sûr qu'on a fait quelques recherches pour se préparer à notre discussion, mais je te laisserai nous expliquer en fait c'est quoi.
[00:07:43] Speaker D: Bien sûr. Donc, la FIRST, en fait, c'est la Fédération étudiante de l'Université de Sherbrooke. Donc, si je devais résumer ça avec quelques comparaisons, c'est premièrement un syndicat étudiant. Donc, ici, dans la défense du droit étudiant, la représentation étudiante. Et j'ajouterais aussi que c'est un peu comme un club social d'une entreprise, en fait. Donc, on fait beaucoup d'organisations, d'événements. On fait aussi du prêt de matériel, tout ça. Donc, il y a beaucoup de services, en fait, à la FIRST. Et c'est ça. Pour moi, la FIRST, les principaux points, c'est vraiment la défense du droit étudiant auprès de l'université ou auprès de la direction, peu importe, et vraiment l'organisation d'événements.
[00:08:25] Speaker B: Puis pourquoi t'as choisi la FIRST en général? Parce qu'à l'université, il y a tellement de communautés, d'associations. Qu'est-ce qui t'a fait pencher pour ça?
[00:08:32] Speaker D: Bien, la FIRST, en fait, j'avais déjà plusieurs expériences, je vais dire, d'implications étudiantes, comme je vous l'ai mentionné, et je cherchais de quoi qui était un peu plus sérieux, un peu plus complet, donc qui avait plus d'opportunités, je vais dire, et donc la FIRST, ça m'a vraiment permis d'aller chercher ça, parce que c'est gros, au final, on représente plus ou moins 16 000 personnes étudiantes, donc on a des gros projets possibles, tout ça, donc c'était vraiment un moyen de s'impliquer activement dans la communauté étudiante avec des ressources quand même très élevées, donc c'est plaisant.
[00:09:10] Speaker C: Tu as des tâches puis tu as des rôles qui ont de l'ampleur dans la vie des étudiants, dans le sens où tu peux faire une différence. Puis je pense que, en tout cas, ça me semble attirant pour cette association-là, définitivement. Puis vous êtes combien de membres actifs, mettons?
[00:09:29] Speaker D: Des membres actifs, donc en fait n'importe qui, vous et moi, peu importe qui au premier cycle est représenté par la FEUS. Donc en tant que tel, théoriquement, tout le monde est membre de la FEUS au premier cycle. Mais sinon, peut-être que tu fais plus mention soit du conseil d'administration de la FEUS, ou du conseil exécutif. Donc, ça, c'est vraiment les deux instances, disons qu'on va dire, d'implication étudiante de la FEUS. Donc, tu as le conseil d'administration qui font toutes faire les décisions financières, en fait, de la FEUS, qui a plus ou moins justement un lien avec l'argent. Et sinon, tu as le conseil exécutif qui, eux, vont plus aller dans le concret. Donc, ils vont vraiment organiser les événements en collaboration avec plusieurs acteurs, que ce soit les services à la vie étudiante ou bien d'autres personnes étudiantes, tout ça. Donc, c'est vraiment plus dans le concret et c'est où est-ce que je suis présentement. Donc, coordonnateur général de la FIRST. Donc, je suis vraiment le gestionnaire de toute l'équipe du conseil exécutif. Donc, j'essaie de faire de mon mieux pour faciliter la job de l'entièreté du conseil exécutif.
[00:10:34] Speaker B: Et si tu veux faire partie du conseil exécutif, est-ce qu'il y a comme une démarche à faire? Tu dois donner, je sais pas, un CV? Comment ça fonctionne?
[00:10:42] Speaker D: C'est pas très compliqué en fait. C'est, dans le fond, deux fois par session et juste une fois par session l'été, on a une Assemblée Générale, donc on appelle le Conseil des membres. Et là, à ces moments-là, en fait, il va y avoir des élections souvent, soit par des postes qui sont vacants ou par exemple à l'Assemblée Générale annuelle où est-ce que là toutes les postes reviennent en élection. Et c'est ça, dans le fond, tu fais juste te présenter dans ce genre d'instances, donc que ce soit en ligne, que ce soit en présence, dépendamment des postes disponibles. Et justement, tu peux te présenter de la sorte, puis évidemment, si tu as déjà de l'implication étudiante, si c'est vu d'une bonne manière, c'est sûr. Ça fait que, oui, ça ressemble à ça.
[00:11:27] Speaker C: Puis ça fait combien de temps que tu occupes ce poste-là? Est-ce que c'est le seul que tu as eu dans la FEUS ou tu as commencé ailleurs?
[00:11:34] Speaker D: Le poste de coordonnateur général, je l'ai eu à partir de juillet. Donc, ça ne fait pas très longtemps. Par contre, j'ai été au poste de condition étudiante depuis février. Donc, ça fait déjà pas mal plus de temps dans ce cas-là. Donc, j'ai vraiment décidé plus de changer de poste parce qu'il y avait une opportunité qui se présentait.
[00:11:53] Speaker C: C'est vraiment intéressant.
[00:11:55] Speaker B: OK. Bien, on va y aller. On coupe plus des questions précises maintenant. Fait que c'est quoi les ressources les plus utilisées de la FERS par les étudiants en général?
[00:12:04] Speaker D: Je dirais que la ressource la plus utilisée, c'est vraiment le plan d'assurance, donc le plan majeur en fait, qui est assez connu en fait, parce qu'on le voit aussi sur la facture étudiante. On voit que c'est justement que ça coûte bien. Ça, ça se fait très bien.
[00:12:20] Speaker C: Je l'ai avec mes parents en fait.
[00:12:22] Speaker D: C'est plus un bonus. Au final, tu n'as pas besoin d'en profiter si tu as déjà des assurances avec d'autres personnes, évidemment. Mais ça reste quelque chose d'un service qu'on donne à la communauté étudiante, donc qui est très apprécié. Sinon, on a aussi la fameuse distribution des agendas. Donc, ça, c'est vraiment la FIRST et le REMDUS qui s'occupent de ça. Donc, le REMDUS qui est l'équivalent de la FIRST, mais pour le deuxième et troisième cycle. C'est deux choses qui sont assez connues. On a aussi de la distribution de produits menstruels réutilisables et non réutilisables. Ce sont des événements qui se passent environ une fois par session. On a beaucoup de questions à ce sujet. C'est quelque chose qui a l'air d'être assez populaire. Ça ressemble pas mal à ça au niveau des services assez connus.
[00:13:08] Speaker C: Puis pour les agendas, si jamais il y a des nouveaux qui nous écoutent, c'est encore disponible, je pense, d'en prendre le proche de vos bureaux au E1, si je ne me trompe pas. Il me semble que j'en ai vu encore la semaine dernière.
[00:13:21] Speaker D: Oui, d'habitude, il en reste tout le temps un peu. Même à chaque année, on va tout le temps avoir un peu d'extra. Donc oui, c'est vraiment juste à côté du bureau de la FEUS, donc à l'extérieur, vous pouvez en prendre. On ne va pas vérifier ou peu importe que vous êtes réellement une personne étudiante. Donc c'est vraiment libre-service.
[00:13:38] Speaker C: Parfait. Puis pour les produits menstruels, est-ce que c'est comme dans des salles de bain quelconques, dans toutes les facultés? Est-ce que tu peux nous en dire plus? C'est quand même un bel service. Un beau service, oui.
[00:13:51] Speaker D: Pour les produits menstruels non réutilisables, en fait, il y en a par exemple dans une des toilettes du E1, donc du pavillon de la vie étudiante. Et on est vraiment en train d'essayer de travailler activement pour en mettre dans toutes les facultés, donc en collaboration avec les associations étudiantes-facultaires. Si je ne me trompe pas, il y en a déjà qui ont commencé, je ne me rappelle plus lesquels, mais oui, là, c'est vraiment en train de s'améliorer.
[00:14:18] Speaker C: Je pense que c'est un très beau service.
[00:14:21] Speaker B: Vraiment. Puis là, on a parlé des services qui étaient souvent utilisés, mais c'est quels ceux qui sont un peu moins connus que vous proposez, mais que pas beaucoup de gens utilisent et qui devraient?
[00:14:32] Speaker C: Ou peu savent que vous proposez?
[00:14:35] Speaker D: Oui, c'est vrai. Premièrement, en fait, il est déjà connu, je vais dire un petit peu, cette service-là, mais il ne peut jamais être assez connu parce que j'adore ce service. C'est l'escouade 5 à 8, en fait, qui est dans tous les 5 à 8, 4 à 7, donc les événements sociaux du jeudi. et qui en fait, on va le dire de cette manière, c'est les mamans des événements sociaux, donc qui ont des barres tendres, des condoms, peu importe, qui ont les ressources et les formations pour...
[00:15:06] Speaker C: Venir en aide.
[00:15:07] Speaker D: Venir en aide, c'est ça exactement, lors de ce genre d'événements. Donc déjà là, c'est super. Ils s'y gèrent vraiment par eux-mêmes, je vais dire. Donc nous autres, on fait vraiment juste du financement à l'escouade 5 à 8 et ça se passe bien de même.
[00:15:23] Speaker B: Je savais pas que t'étais la first.
[00:15:24] Speaker C: Moi non plus. Puis c'est toujours le même groupe ou moins grande fervente des cinq? C'est-tu toujours le même groupe d'étudiants?
[00:15:31] Speaker D: Récemment, ça l'a changé beaucoup parce qu'évidemment, il y a des étudiants qui graduent et d'autres qui ont d'autres opportunités. Mais si je ne me trompe pas, leur escouade a l'air d'être pas mal assez plein. Donc, toutes les personnes qui sont parties, il y en a d'autres qui ont pu les remplacer. Mais en général, c'est assez stable, je vais dire.
[00:15:49] Speaker C: Très cool. Puis je suis allée fouiller un petit peu sur votre site web de la FIRST, puis tu en as parlé un petit peu plus tôt dans le podcast. Il y a comme trois mots-clés qui sont très visibles sur la première page quand on rentre sur le site web, c'est défendre, servir et informer. Puis moi, je voudrais comprendre, ça veut dire quoi pour toi ces termes-là? Puis comment les étudiants peuvent en bénéficier? On parle de défendre les droits des étudiants auprès des instances directionnelles. Veux-tu m'aider à comprendre concrètement, en me donnant des exemples, ça veut dire quoi ça?
[00:16:23] Speaker D: Défendre, en fait, ça c'est... on peut défendre et représenter, je vais dire, le droit des étudiants de plusieurs manières à la FEUS. Donc, pour moi, la première chose que je pense, en fait, c'est lors des réunions, en fait, avec la direction ou le rectorat et...
Donc, je pense au conseil universitaire, au conseil des études. Donc, ça, c'est deux grosses instances où est-ce que des étudiants, des personnes étudiantes sont invitées pour représenter la communauté étudiante. Donc, ils ont des décisions assez importantes qui peuvent être prises, justement, dans les orientations de l'université. Donc, nous autres, on vient représenter les étudiants, défendre leur intérêt, défendre leur droit, au cas... Exactement de cette manière. On va aussi... défendre peut-être plus directement le droit des étudiants. Donc, ça se peut, par exemple, qu'au cours de votre parcours universitaire, ça arrive que vous ayez des problèmes, soit avec des professeurs, des chargés de cours, la sécurité, l'administration. C'est possible de passer par la FEUS. Ce n'est pas forcément la première option. On essaie tout le temps de régler un problème de manière directe. Mais si c'est trop compliqué, on peut passer par la FEUS. Et là, dans ce cas-là, la personne exécutante à la condition étudiante, donc le poste que j'avais avant, peut vraiment aider et mettre de la pression en fait par moment sur que ce soit la direction pour mieux défendre les intérêts des étudiants, donc essayer de régler ces problèmes qu'ils peuvent avoir en fait.
[00:17:57] Speaker C: Parfait.
[00:17:58] Speaker B: Genre, mettons, il y a un problème avec un prof, il t'a donné une note injuste à ton avis, c'est la FERS que t'appelles ou c'est pas vraiment, c'est une ressource trop loin?
[00:18:06] Speaker D: Normalement, ce ne sera pas la chose que tu vas faire directement. En premier lieu, mettons que tu as un problème avec un professeur, tu essaies de voir directement avec lui s'il y a quelque chose à faire évidemment. Donc ça, c'est vraiment la première étape. Ensuite, La deuxième étape, c'est un des deux, peu importe, ça va revenir peut-être au même. Soit tu vas voir ton association facultaire. Donc nous autres, par exemple, on est représenté par la GFLESH en communication marketing. Mais à l'école de gestion, par exemple, c'est le REGS. En génie, c'est la GEC. Donc vraiment d'aller voir ces personnes-là. Normalement, ils peuvent vous aider. Et ça se peut que ça ne marche pas, ça peut arriver, peu importe. Et donc là, après, ça sera d'aller voir la FEUS. La FEUS en tant que telle, déjà là, c'est loin dans un sens. Mais ensuite, en fait, je dirais comme la dernière option, c'est l'Ombudsman de l'université. Donc ça, c'est un service de l'université dans le but de justement représenter aussi, de défendre les droits des étudiants.
[00:19:13] Speaker C: Parfait. Puis là, tu parlais un petit peu, tu connaissais le nom des associations, des autres facultés, puis on en a parlé un petit peu la dernière fois qu'on s'est parlé, mais en fait, on peut dire que vous chapeautez les associations de toutes les facultés de l'Université de Sherbrooke, je me trompe-tu?
[00:19:27] Speaker D: Non, non, tu ne te trompes pas. En fait, je vais faire un comparatif parce que c'est ça qui est comme le plus facile à expliquer. On peut dire que la FEUS, en fait, c'est comme si c'était le gouvernement fédéral. Puis ensuite, chaque association facultaire, donc comme j'en ai mentionné quelques-uns, c'est comme si c'était des gouvernements provincials. Donc, c'est vraiment, on vient comme... aider, je veux dire, dans un sens, tout ce que ces associations facultaires veulent faire. Mais justement, on les chapeaute un peu, comme tu dis, et ils font tous partie de la feuse, dans un sens.
[00:20:02] Speaker C: Parfait. J'aime la comparaison. Très claire. Encore, dans mes grandes recherches de sites web, je regardais justement les services que vous offrez, puis je suis tombée sur Unilogy. Puis honnêtement, j'ai lu, puis j'étais vraiment étonnée de voir que ça existait. Je n'avais jamais entendu parler de ça, mais je trouve ça super intéressant. Je pense que c'est comme une plateforme où on peut voir les appartements qui sont alloués à Sherbrooke. Veux-tu élaborer là-dessus?
[00:20:31] Speaker D: Oui, bien, en fait, une illogie, encore une fois, c'est un service, je veux dire, de la first. C'est vraiment juste un peu, je veux dire, un marketplace, vraiment, de tous les appartements ou les chambres à louer. Pas juste à Sherbrooke, en fait, si on regarde, il y a aussi pour le campus de Longueuil. Donc, vous l'aurez deviné, c'est à Longueuil. T'en as aussi un peu plus qui est plus adapté, mettons, pour le campus de la santé. Donc, il reste à Sherbrooke, mais… Plus dans l'Est. Exact, c'est ça. Donc, c'est plus loin. Fait que vraiment, c'est ça. Donc, si t'es, je vais dire, une personne qui veut louer son appartement, donc tu peux justement le mettre sur ce site-là. Il est comme un peu sécurisé dans un sens. Donc, c'est pas comme le Facebook Marketplace que n'importe qui peut publier de quoi. Est-ce que c'est disponible? C'est ça. Donc, nous autres, c'est vraiment un peu plus sécurisé. Il y a des vérifications qui sont faites, mais ça reste que ça peut être quelqu'un qui veut soulouer ou vraiment, je veux dire, un big qui va louer plusieurs appartements. Donc, ça reste assez.
[00:21:38] Speaker B: Est-ce que c'est beaucoup utilisé? Parce que je ne sais pas pour vous, pour trouver votre appartement, mais moi ça a quand même été difficile. À notre année, je fais beaucoup de visites et là tu parles de trucs non sécurisés sur Marketplace. J'en ai visité des appartements cradeaux, honnêtement. Je ne sais pas, est-ce qu'il y a beaucoup de proprio? Comment ça s'est passé, votre recherche d'appartement aussi?
[00:21:58] Speaker D: Moi, ma recherche d'appartement, ça a été très drôle. Je ne connaissais pas Unilogy, évidemment, dans le temps, à ma première année. Mais j'ai vraiment juste... Je suis venu à Sherbrooke un peu tout seul. Je ne connaissais pas grand monde. Je connaissais quelques personnes en génie, c'est tout. J'ai vraiment checké sur le Marketplace et j'ai trouvé de quoi avec deux personnes que je ne connais pas. Ça s'est quand même bien passé. Mais oui, c'était un super appartement qui était très proche de toutes les lignes de bus. J'ai quand même été chanceux, je pense.
[00:22:30] Speaker C: Moi aussi, ça a bien été. J'ai toujours le même appartement qu'à ma rentrée, mais je dois ça à mon grand-frère qui était déjà à l'université, donc j'ai juste habité avec lui. C'était rien de... pas un gros, gros changement, mais très bien aussi. L'appart, c'était pas crade. Fait qu'on a été chanceux pour ça.
[00:22:49] Speaker D: Moi pas non crade, plus, il est.
[00:22:49] Speaker B: Mais lui, j'ai choisi.
Bref, c'est vraiment un super service que moi non plus, je ne savais pas que ça existait. Ça devrait vraiment être plus utilisé par les utilisateurs. Surtout quand tu souloues pour les sessions de stage.
[00:23:02] Speaker C: C'est ça que je voulais savoir. Est-ce que c'est possible de soulouer ton appart juste pour une session ? C'est un court terme, mais est-ce que ça se fait ?
[00:23:09] Speaker D: Oui, ça se fait sur Unilogy. Il y a vraiment une section, si tu veux regarder, pour les affaires à soulouer. Donc, c'est quelque chose qui est souvent fait. Mais encore une fois, Unilogy, c'est un service qui n'est pas énormément connu. On essaie quand même de le mettre de l'avant. Mais c'est ça. Il y a beaucoup d'options, surtout en début, pendant l'étui, justement, au moment de renouveler les bails et tout. Donc, voilà.
[00:23:31] Speaker C: Je trouve que c'est vraiment cool.
Après ça, il y avait le prêt de matériel. Puis là, j'ai vu que tu devais comme inscrire un Google, t'inscrire dans le fond, remplir un Google Form. Puis une fois que tu remplis celui-là, t'écris tes besoins, ça avait l'air très intuitif et très simple d'utilisation. Tu vas chercher ça où? Sur le campus?
[00:23:50] Speaker D: Ça va dépendre un peu de ce que tu as de besoin, en fait. On a comme, je veux dire, deux services de prêts de matériel un peu différents. Donc, premièrement, tu as celui à découvert, qui est vraiment de la vaisselle. C'est tout simplement ça. Donc, c'est plein de vaisselle réutilisables qu'on offre de même. Donc, c'est vraiment pour des événements. Et on a aussi justement un peu de matériel de même tout le temps pratique pour faire pour faire des événements, pour organiser des événements. Donc, on a par exemple des jetons, des Terminal Square. On a un chapiteau aussi qu'on peut prêter.
[00:24:30] Speaker C: Ça fait que c'est gratuit. La personne remplit le forum puis vient vous voir, tu prends le chapiteau, vous le rapporte en bon état, puis c'est aussi simple que ça.
[00:24:37] Speaker D: Exactement, oui. Il y a vraiment plein d'affaires possibles. Tant que ça ne rentre pas en même temps que quelqu'un a déjà loué, ce n'est vraiment pas très compliqué. Vous pouvez aller directement au bureau de la FEUS pour voir justement au niveau plus logistique comment ça se passe.
[00:24:57] Speaker C: Très cool, très cool.
[00:24:58] Speaker B: Je vais te demander le chapiteau pour ton prochain party chez vous.
[00:25:01] Speaker C: Si j'étais une grande party girl.
[00:25:05] Speaker B: Ok, bref. Alors, prochaine question. On vient de voir le spectacle de la rentrée il y a quelques semaines avec Marimé, honnêtement, c'était génial. Moi, c'est l'une de mes chanteuses préférées de quand j'étais petite. J'ai adoré. Est-ce que tu peux me parler des prochains événements qui sont prévus pour les membres de la FIRST?
[00:25:20] Speaker D: Il y a quelques événements en fait cet automne qui s'en viennent. Je pense à la semaine de la décroissance qui est probablement l'événement qui va se passer dans le moins de temps. C'est vraiment une semaine de plein d'activités dans le but de sensibiliser à plusieurs causes environnementales, mais beaucoup sur le principe de la décroissance. Donc en fait, on a le but de la croissance, de tout le temps faire plus d'argent, de tout le temps produire plus, tout ça. Donc ici, on vient comme un peu switcher ça de bord, dans le sens que pour protéger l'environnement, il faudrait faire de la décroissance. Donc ça, c'est quelque chose, justement, qu'on a des positions à la feuse qui défendent ces points-là. Et justement, des fois, on fait des semaines ou des activités, de l'organisation d'événements pour ce genre de sujet.
Et on a aussi la soirée d'implication qui va arriver dans peu de temps. Elle n'est pas encore planifiée. Donc, ça en fait, c'est vraiment toutes les personnes à l'université qui s'impliquent peuvent faire des demandes de bourse d'implication à la FIRST. Donc, on a plusieurs types que je ne me rappelle pas par cœur. Mais c'est ça, puis au final on fait une soirée justement pour un peu mettre de l'avant l'implication étudiante, l'engagement étudiant, donc vraiment pour féliciter les personnes qui s'impliquent activement à l'université. Donc ça c'est vraiment ce qui est pas mal prévu cet automne. Ça se peut qu'on ait d'autres événements un peu plus spontanés qui arrivent. Et pour l'hiver, on a le carnaval et le show de la rentrée d'hiver. Donc, il va aussi y avoir un show de la rentrée cet hiver. Il n'y aura pas Marie-Moyne, je peux déjà le dire malheureusement.
[00:27:03] Speaker C: L'an passé, c'était mat' d'œuf.
[00:27:05] Speaker B: Ça, c'était bon.
[00:27:06] Speaker D: Oui, c'est vrai.
[00:27:06] Speaker C: C'est vraiment bon. L'autre année d'avant, Arnaud se lit.
[00:27:10] Speaker B: C'était bon ça.
[00:27:10] Speaker C: Sérieux là, la barre est haute.
[00:27:13] Speaker B: J'aimerais qu'on vienne sur la semaine de la décroissance parce que j'entends toujours parler de ça, mais j'ai jamais participé à une activité. Est-ce que tu peux me nommer des activités qu'il y a d'habitude que vous faites dans ce genre d'événements-là?
[00:27:24] Speaker D: Présentement, je ne sais pas exactement. Il y en a une que je me souviens, qu'on m'avait parlé, parce que ce n'est pas moi qui l'organise directement. Donc, c'est la responsable aux affaires locales et environnementales. Une des activités qu'elle m'a parlé et qu'elle veut mettre en place, en fait, c'est la fabrication de films alimentaires. Donc là, quand je dis film, je ne parle pas d'un film avec une caméra, tout ça, qui a du montage.
[00:27:51] Speaker B: Tu montes des tomates. Film alimentaire.
[00:27:53] Speaker D: Mais dans le fond, en fait, c'est vraiment comme du papier, ça va le rap. Donc, c'est vraiment juste pour faire ça. Puis, c'est fait en cire, si je ne me trompe pas, et c'est réutilisable, tout ça. Donc, c'est vraiment une espèce de petite activité dans ce genre. Puis, à chaque fois, en fait, qu'on a des événements, on fait aussi beaucoup de publications sur les réseaux sociaux pour, des fois, informer, d'autres fois, justement, organiser les événements.
[00:28:15] Speaker C: Très cool.
[00:28:16] Speaker B: Je vais aller vous suivre. Selon toi, une question qu'on se pose aussi, puis je pense que ça venait aussi dans la communauté qui se demandait, pourquoi selon toi, qu'est-ce qui freine les étudiants à s'impliquer à l'université? Moi, personnellement, on en a un peu parlé au premier épisode, mais en première année, tu arrives, tout le monde est comme, oh, implique-toi, implique-toi, ça va vraiment changer ton parcours. Mais moi, j'étais comme, wow, calmez-vous, je viens d'arriver, je suis dans une nouvelle ville, je ne sais pas, l'université, ça ressemble à quoi et tout. Est-ce que toi, d'autres personnes qui ont pu te faire part de choses qui les freinent de s'impliquer à l'université?
[00:28:49] Speaker D: Un élément, en fait, qui freine, je veux dire, les personnes de s'impliquer, en fait, c'est qu'ils ne connaissent pas tant les opportunités d'implication. Donc, déjà là, tu sais, la FEUS, vous l'avez un peu mentionné tout à l'heure, c'est... Oui, vous savez que ça existe, mais vous ne savez pas exactement ce que ça fait, puis vous ne savez pas comment vous impliquer directement à la FEUS. C'est le cas pour la majorité des gens, en fait, à l'université. Donc, souvent, C'est quelque chose, surtout la first, on a l'impression que c'est très gros comme implication. Et oui, c'est quand même, tu sais, ça prend du temps, là, c'est certain. Mais il y a aussi d'autres implications qui sont plus mineures, je vais dire. Mais ça reste que tu vas tout le temps aller vers un monde que tu connais pas. C'est comme, c'est du nouveau, fait que c'est un peu insécurisant. Mais pourtant, ça peut être super le fun, évidemment. Moi, j'ai adoré, là, mon implication au début avec la G-Flech, puis après avec la first, donc c'est... Moi, j'adore.
[00:29:42] Speaker C: Puis tu as parlé un petit peu d'implications mineures. Ça prend quand même une grande place dans ta semaine. Mettons en termes d'heures, est-ce que tu es capable de mettre sur un nombre approximatif que ça peut te prendre chaque semaine? J'imagine que ça varie quand vous avez des événements, des trucs qui s'en viennent, mais approximativement, as-tu une idée?
[00:29:59] Speaker D: Effectivement, c'est très différent dépendamment des moments. Vers les moments de la rentrée avec les kiosques de la FEUS, avec le show de la rentrée, avec divers enjeux logistiques, peu importe. Je mettais énormément de temps, peut-être un trente heures par semaine.
[00:30:16] Speaker C: Et quand même.
[00:30:16] Speaker D: Oui, c'était trop.
[00:30:19] Speaker B: Au moins, il ne se passe pas grand-chose dans nos cours.
[00:30:21] Speaker D: Oui, c'est ça, exactement. C'est pour ça que ça ne me dérangeait pas non plus de faire autant de temps, même que c'était quand même stimulant. Mais en général, à la FEUS, on essaie tout le temps de trouver une espèce de 15 heures par semaine.
[00:30:34] Speaker C: Mais quand même.
[00:30:35] Speaker D: Oui, quand même.
[00:30:36] Speaker C: C'est une bonne implication.
[00:30:36] Speaker D: Encore une fois, ça dépend des gens. Je veux dire, une personne qui est bien productive, qui est très organisée pourrait faire ça en moins de temps. Je veux dire, c'est plus une question de résultats, donc vraiment de comment tu travailles et comment tu es capable de vraiment... Comment dire?
[00:30:54] Speaker C: Rendre le rendu.
[00:30:57] Speaker D: Rendre le rendu, oui.
[00:30:59] Speaker C: Je ne sais pas si ça se dit, mais aujourd'hui, oui.
[00:31:02] Speaker D: Exactement. Puis, c'est ça, au niveau, mettons, moi, le poste de coordonnateur général me prend plus de temps, je trouve, que le poste de condition étudiante. Donc, ça, c'est quelque chose que je vais vraiment devoir à regarder un peu plus en détail, parce que, admettons, à la mi-session et en même temps avec ce poste-là, j'ai l'impression que je pourrais facilement être « overwhelmed ». C'est quelque chose que j'étais en train de regarder.
[00:31:25] Speaker C: Puis dans ton train-train quotidien, est-ce que c'est des courriels? Est-ce que c'est de la gestion avec les autres coordonnateurs? Ça ressemble à quoi, admettons, plus spécifiquement?
[00:31:38] Speaker D: Il y a beaucoup de courriels, ça c'est certain, déjà de base. Donc c'est quelque chose qui me prend quand même pas mal de temps au final à gérer à chaque semaine. Et souvent ça va être vraiment de faire des suivis avec les autres coordonnateurs. Donc déjà ça peut prendre du temps, dépendamment des événements qui se passent. En général. Et aussi, ça va être de contacter aussi les personnes employées à temps plein, essayer de planifier des choses. Donc, on a des formations, par exemple, qui s'en viennent au conseil exécutif. Où est-ce que là, j'essaie de voir vraiment comme tous les points des formations qui seront à discuter. Donc, c'est beaucoup d'affaires. Donc, j'ai l'impression de toucher un peu à tout avec le coordonnateur général. Donc, voilà.
[00:32:23] Speaker C: Mais c'est quand même des bons outils à développer pour le monde professionnel après, j'imagine que...
[00:32:27] Speaker D: Vraiment, vraiment. Ça, c'est sûr que ça développe ma polyvalence. Vraiment, ça c'est sûr et certain. Je deviens de plus en plus un expert avec Outlook et Excel aussi. J'essaie de faire des affaires avec ça.
[00:32:41] Speaker B: Sur son CV, c'est écrit Suite Office plus plus plus.
[00:32:44] Speaker D: Oui, exactement. Donc oui, j'ai l'impression de développer énormément de skills en m'impliquant à la feuille.
[00:32:52] Speaker C: Tant mieux. J'imagine que tu le fais en partie.
[00:32:53] Speaker D: Pour ça, mais c'est... Oui, c'est ça exactement. C'est vraiment une opportunité justement d'apprendre sur plein de sujets différents. C'est pour ça que je trouve ça quand même très, très engageant et trippant, même si c'est difficile par moments.
[00:33:05] Speaker B: C'est peut-être un peu piqué comme question, mais est-ce que tu travailles d'habitude au bureau de la FUS ou tu peux travailler de chez toi? Est-ce que tu peux travailler sur les heures, genre peux-tu travailler en soirée ou c'est comme du 9 à 5 gros guillemets?
[00:33:19] Speaker D: C'est très, très libre dans un sens. Je veux dire, si je vais envoyer un courriel à quelqu'un à 2h du matin, je peux bien le faire, il n'y a rien qui m'en empêche. C'est vraiment sur mon ordinateur personnel que je fais mes affaires, tout ça. Mais ça reste que j'essaie tout le temps d'être en présence au bureau le plus souvent possible, en fait, parce que premièrement, je ne travaille pas très bien quand je suis chez moi. Fait qu'il me faut, soit je m'en vais dans un café, soit je m'en vais au bureau de la FEUS, ça m'aide déjà à travailler. Et aussi le fait que ce soit dans les heures d'ouverture, donc mettons 8h30 à 4h30, le bureau de la FEUSS, il y a les personnes employées qui sont des personnes vraiment ressources à la FEUSS. Ça fait plus longtemps qu'elles sont là que moi, évidemment. Donc c'est déjà là, je peux parler avec eux, leur poser des questions, tout ça, parce qu'il y a tout le temps des affaires à apprendre en lien avec la FEUSS.
[00:34:07] Speaker C: – Tu vois, je croyais que c'était que des étudiants qui étaient à la FEUSS.
[00:34:12] Speaker D: On a deux personnes employées en fait à temps plein, donc qui sont des personnes qui ne sont plus étudiées en temps plein. Donc ces personnes-là en fait, justement, comme je dis, c'est des personnes ressources vraiment extrêmement importantes dans le fonctionnement de la FIRST. Et oui, ça ressemble pas mal à ça.
[00:34:28] Speaker C: Parfait.
[00:34:29] Speaker B: On les salue. Ici, je faisais un petit retour en arrière de deux ans et demi. Qu'est-ce que tu changerais sur tes années universitaires? Ça peut être par rapport à tes implications ou par rapport à tes cours, n'importe quoi.
[00:34:43] Speaker D: C'est intéressant, c'est intéressant. Je ne sais pas si je changerais de quoi.
[00:34:49] Speaker B: OK.
[00:34:50] Speaker D: Tout simplement, je ne sais pas. Peut-être que je me serais impliqué peut-être un peu plus à l'AG FLECH au début, mettons.
[00:34:55] Speaker C: OK.
[00:34:55] Speaker D: Donc, tu sais, j'ai déjà dit que j'étais un petit peu impliqué, mais je n'ai pas l'impression de l'avoir été beaucoup. Puis pourtant, l'AG FLECH, c'est une association étudiante que j'aime beaucoup. C'est juste parce qu'ils sont très militants, ils sont très actifs. Donc, je ne sais pas, je les aime bien. C'est des gens que j'aime bien aussi en général là-bas. Donc, je me serais peut-être plus impliqué, mais ça reste que... Bon parcours, je l'aime bien. Je veux dire, communication, marketing, pour moi, c'est un bon choix. Et de m'être impliqué à la first, mais pas non plus dès le début, bien, je pense que ça a été un bon choix aussi.
[00:35:24] Speaker C: Fait que... T'as pu voir autre chose aussi, là. Puis... Qu'est-ce que... Ah oui, ça m'est comme popé, mais ça n'a pas vraiment rapport avec tes implications.
[00:35:33] Speaker D: Oui.
[00:35:34] Speaker C: Tes stages, tu les as faits où?
[00:35:36] Speaker D: J'ai fait deux...
[00:35:37] Speaker C: C'est pas indiscret?
[00:35:38] Speaker D: C'est pas indiscret, non. C'est vraiment des stages. Je veux dire, c'est pas un secret professionnel. Je l'ai faite à Rivière-du-Loup, donc encore là, c'est dans le Bas-Saint-Laurent, c'est un peu plus dans mon coin.
[00:35:55] Speaker B: C'est tellement beau là-bas.
[00:35:56] Speaker D: Oui, effectivement. Effectivement, donc déjà, le fleuve me manque, je vais dire ça de même. C'était à Premier Tech, donc c'était vraiment une entreprise qui est beaucoup dans le domaine de l'ingénierie et dans le domaine aussi de l'horticulture. Donc, moi, en fait, je faisais de la... de l'horticulture, de l'agriculture, de l'agriculture, de l'agriculture. beaucoup de rédaction, un peu de rédaction technique aussi, de la rédaction de communiqué et tout ça aussi, pour l'équipe de santé et sécurité, donc justement de Premier Tech. Donc c'était un beau stage, donc une très belle culture d'entreprise, même si c'est une grosse entreprise québécoise en fait, Premier Tech. Donc ça je l'ai bien aimé. Sinon mon dernier stage, stage de l'été 2025, était au siège social de RONA.
[00:36:39] Speaker B: Donc à Boucherville, Comment tu t'es retrouvé à Boucherville?
[00:36:44] Speaker D: En fait, je vais dire ça de cette manière, mais je suis un peu un vagabond dans ce qui est des stages. Vous le savez, ce n'est pas l'affaire la plus simple de trouver un bon stage à Sherbrooke parce qu'ils sont très en demande. Tout le monde essaie d'avoir un stage, un beau stage à Sherbrooke. Ce n'est pas forcément l'affaire la plus facile. Je me suis dit, pour vraiment me donner le plus de chance possible, je ne vais pas me limiter à Sherbrooke ou mon coin de pays où il n'y a presque aucun stage. Et en fait, ce que je fais, c'est que je loue des appartements à la session. C'est toujours ça. En fait, depuis quand j'ai fini ma première année universitaire, ça a été ça. Donc, c'est vraiment une session, j'étais à cet endroit-là, l'autre session, j'étais à un autre endroit.
[00:37:27] Speaker C: Tu déménages à chaque fois.
[00:37:28] Speaker D: À chaque session.
[00:37:29] Speaker C: Marie, la patience.
[00:37:32] Speaker D: C'est rough. J'ai hâte d'avoir un appartement où je peux rester plus que quatre mois.
[00:37:37] Speaker C: Ça a eu le temps de placer tes choses, puis hop, c'est reparti pour un autre.
[00:37:42] Speaker B: À chaque fois, c'est une nouvelle cuisine. Ils sont où, les Top 1?
[00:37:45] Speaker D: Ah oui, il faut que je redécouvre à chaque fois, ça me prend quelques semaines vraiment à m'habituer donc c'est quelque chose. Mais c'est bien dans un sens parce que ça m'a permis justement d'aller à Boucherville sans que ça soit...
[00:37:56] Speaker B: La rive sud du beau coin.
[00:37:59] Speaker D: J'ai pas énormément aimé la rive sud malheureusement.
[00:38:02] Speaker B: Mais surtout, le Rhône-à-Boucherville, c'est comme pas le spot, là. Je veux dire, c'est sur le bord de l'autoroute, là.
[00:38:07] Speaker D: Oui, vraiment.
[00:38:08] Speaker B: C'est pas très beau, là, mais bon.
[00:38:09] Speaker D: Exact. C'est vraiment une avenue industrielle et tout ça, donc c'est pas très intéressant dans ce but-là. Mais j'ai quand même touché des sujets intéressants, donc c'était vraiment un stage de mise en marché, donc de merchandising, comme ils disent en anglais.
[00:38:21] Speaker C: Je te comprends là-dessus, moi aussi.
[00:38:23] Speaker D: Ouais.
[00:38:23] Speaker C: J'ai fait ça cet été.
[00:38:25] Speaker B: Ouais, moi aussi. Ben non, c'est pas vrai. Non mais moi c'est vrai, je sais.
[00:38:30] Speaker C: Ok, excuse, je t'ai coupé. Pis là, les stages sur Trivio sont sortis la semaine dernière.
[00:38:36] Speaker D: Oui.
[00:38:37] Speaker C: Quoi?
[00:38:38] Speaker B: Genre imagine, il est comme « ouais, j'ai reçu une entrevue ».
[00:38:40] Speaker D: J'ai déjà eu une entrevue.
[00:38:42] Speaker C: Mais comme ça s'enligne pourquoi, qu'est-ce que t'as envie de faire? T'as-tu des plans en tête?
[00:38:47] Speaker D: Pour l'instant, j'ai énormément de stages qui m'intéressent à Sherbrooke. Je vais dire que ça change un peu d'avant. Je le vois avec l'université, il y a plein d'opportunités de stages. Je me sens que cette session, il y en avait plus qu'avant.
[00:39:01] Speaker B: À Sherbrooke, j'avoue qu'il y en avait beaucoup.
[00:39:03] Speaker D: Oui, il y en a beaucoup. Déjà là, c'est super intéressant. J'ai aussi quelques agences que j'ai regardées à Sherbrooke et j'ai une agence de communication aussi à Montréal. Mais là, j'aimerais ça faire mon stage à Sherbrooke. Ça fait que ça change la décision un peu, mais ça ressemble pas mal à ça. Donc, j'ai appliqué à une douzaine de stages.
[00:39:21] Speaker C: Est-ce que tu es plus du genre, je vais essayer de quoi différent à chaque stage ou tu sais ce que tu as en tête et tu veux avoir le plus d'expérience possible entre tes trois stages réunis?
[00:39:33] Speaker D: Si je savais exactement ce que je voulais faire plus tard, j'essaierais de me trouver un stage dans exactement ce que je veux faire. Le truc, c'est que je ne sais pas ce que je vais faire. Donc vraiment, je vais essayer de trouver des entreprises différentes et vraiment des postes différents justement pour essayer de toucher à tout. C'est vraiment ça ma mentalité depuis le début des stages en fait.
[00:39:56] Speaker B: Je pense que c'est un peu classique en com. C'est tellement large.
[00:40:01] Speaker C: Puis on a l'opportunité de pouvoir essayer des choses. Pourquoi pas l'apprendre?
[00:40:05] Speaker D: Ben oui, exactement. C'est ça, le fait que j'ai travaillé pour une entreprise d'ingénierie, puis après pour Rona, je ne sais pas ce qui va arriver après, mais c'est ça, c'est comme des aventures, je veux dire, dans un sens.
[00:40:16] Speaker C: Puis là, c'est vraiment une question de mémoire que j'ai pour toi. Est-ce que tu travaillais comme littéralement dans la bâtisse Rona, qui ont comme des bureaux, je ne sais pas, à l'étage ou c'est quoi? C'était... Comme dans la Kinkagigne?
[00:40:29] Speaker D: Non, pas exactement. Ça se peut qu'on ne mentionne pas exactement le même Rona. Peut-être qu'on ne pense pas au même.
[00:40:35] Speaker C: Moi, je parlais de Mike Chirona.
[00:40:37] Speaker D: Non, non, oui, c'est ça. Non, non, c'est ça exactement.
[00:40:40] Speaker B: C'est encore le même Rona, il me parle de la bâtisse.
[00:40:42] Speaker D: Mais où est-ce que ça s'appelle?
[00:40:43] Speaker C: Ah, je ne m'y connais pas là.
[00:40:44] Speaker D: Non, non. C'est des détails plus qu'autre chose, mais dans le fond, le siège social de Rona, c'est vraiment comme... C'est pas un magasin, dans le sens que c'est pas ouvert vraiment au public, donc c'est vraiment... Il y a un centre de distribution, comme de... où est-ce qu'ils envoient les camions et tout, un peu partout, puis à l'étage, justement, c'est comme tous les bureaux, donc... Il y a comme environ 1000 personnes qui travaillent...
[00:41:06] Speaker C: Je me sennouille, on dirait. J'aurais dû y penser. Regarde, tu vois, je vais me coucher moigneuse ce soir.
[00:41:11] Speaker B: Vu que Laura fait juste dire des niaiseries, on va passer aux questions du public.
[00:41:16] Speaker C: Laisse faire, vas-y. En fait, ça peut compter pour questions du public.
[00:41:19] Speaker B: Ok, tu seras le public numéro un.
[00:41:20] Speaker C: Je vais être le public numéro un. On parle d'implication depuis tantôt et c'est pourquoi on voulait te parler aujourd'hui. Mais qu'est-ce qui t'a poussée? Qu'est-ce que tu veux faire en t'impliquant? Y a-t-il un message que tu veux passer? Y a-t-il une raison primordiale? Pourquoi tu t'impliques, mettons?
[00:41:40] Speaker D: Pourquoi je m'implique? Non, mais c'est une grosse question quand même. C'est large, mais c'est tout le temps quelque chose qui est important à voir. Je veux dire, si tu t'impliques, c'est bien pour une raison. Moi, premièrement, juste faire des études, par exemple. Donc, mettons que je suis à l'université, puis que mon quotidien, c'est soit de faire des études, puis après d'aller dans des 5 à 8. Je trouvais que ce n'était peut-être pas assez stimulant dans un sens. Le fait de m'impliquer, c'est déjà là, ça rajoute quelque chose à mon parcours universitaire qui est différent tout simplement. Donc, c'était vraiment quelque chose que c'est pour ça que je me suis impliqué à la base, c'est pour m'occuper et en apprendre davantage. Ensuite, il y a aussi le fait que Je vais redonner un peu directement à la communauté étudiante. L'Université de Sherbrooke, c'est une université que j'adore, que je trouve super cool. Si je peux permettre à d'autres étudiantes, d'autres personnes étudiantes de justement profiter de leur parcours universitaire. Exact, c'est ça. C'est vraiment d'organiser justement la création d'événements, tout ça. Donc, c'est vraiment quelque chose qui va faire que les personnes étudiantes vont aimer leur parcours universitaire. Donc, c'est quelque chose que je vois d'un très bon oeil, dans un sens.
[00:42:57] Speaker C: Parfait. Très intéressant. Tu veux-tu poursuivre avec la deuxième question du public?
[00:43:00] Speaker B: Oui. Une personne qui se demandait, est-ce que tout le monde se connaît déjà quand il arrive dans une association? Est-ce que c'est déjà genre une clique, puis là t'es tout seul?
[00:43:10] Speaker C: Parce que ça aussi, ça peut être intimidant. Tu regardes ça puis t'es comme, oh mon Dieu, tout le monde s'entend bien, je veux m'impliquer, mais en même temps, c'est intimidant.
[00:43:18] Speaker D: C'est vrai que c'est un élément que je n'avais pas mentionné au début quand vous m'avez dit la question sur les fringues à l'implication. Je n'y ai pas pensé directement, mais c'est vrai que ça peut être intimidant parce que moi, quand je me suis impliqué à la first, je ne connaissais personne, simplement. Comme quand je suis allé à l'université, je ne connaissais personne non plus. Puis, c'est quelque chose qu'il faut comme...
Il ne faut pas que tu aies peur dans un sens, surtout, je ne sais pas pour toutes les associations, mais je vais présumer que c'est ça, mais les gens sont très accueillants, puis ils aiment ça le fait que quelqu'un veut s'impliquer tout simplement. Tu sais, que tu sois super compétent ou moyennement compétent, peu importe, quand il y a une volonté que toi tu veux t'impliquer, ça c'est super apprécié de tout. de toutes les associations étudiantes, que ce soit à la FEUSS ou les associations étudiantes facultaires. Donc, je vous encourage n'importe qui à vraiment vouloir s'impliquer, même si vous ne connaissez personne. Au final, c'est rendu que je connais beaucoup de gens à la FEUSS, puis j'adore ces gens-là aussi. Donc, c'est vraiment...
C'est quelque chose que si je m'étais comme... Si je n'avais pas voulu m'impliquer parce que je ne connaissais personne, je n'aurais pas eu autant de fun.
[00:44:28] Speaker C: Non, c'est ça.
[00:44:29] Speaker B: Ça te permet aussi de rencontrer des gens, c'est pour les nouveaux. Surtout, comme tu parles, tu es déménagé en habitant ici, ça te permet de rencontrer des personnes qui ne sont pas nécessairement dans ton programme, mais tu es rentré dans ton cercle, c'est vraiment cool.
[00:44:40] Speaker D: Ben oui.
[00:44:40] Speaker C: Puis, je pense à quelqu'un qui est peut-être plus réservé que... Tu sais, je veux dire, tu as de l'entre-genre, tu parles bien, tu vulgarises bien.
qu'est-ce que t'aurais à leur dire, parce qu'ils ont aussi, j'imagine, leur place dans des assos étudiantes, par où commencer si t'es quelqu'un justement qui a envie, mais qui a peut-être pas comme une personnalité flamboyante. Extravertie, c'est le mot.
[00:45:05] Speaker D: Ça va dépendre, en fait, que ce soit dans les associations facultaires ou à la FEUS. Il y a des postes où est-ce que tu n'as pas besoin d'avoir une personnalité flamboyante ou peu importe. Donc, je pense aux postes, nous autres, de coordination aux affaires institutionnelles. Donc, ici, ça vient plus faire de... de la gestion dans comme toutes les instances de la FIRST, toutes les réunions de la FIRST, t'as pas besoin d'avoir, je veux dire, un charisme ou peu importe, c'est pas nécessaire tout simplement. Fait que ça, dépendamment des postes, il y en a comme un peu pour tout le monde, il y en a pour comme toutes les personnalités, donc c'est ça. Puis c'est exactement le même élément pour les associations facultaires, c'est vraiment plusieurs postes qui sont adaptés, qui sont différents en fait, qui sont faits pour des personnes, pas toutes la même catégorie de gens.
[00:45:52] Speaker C: Fait qu'au final, il y a de la place pour tout le monde. Impliquez-vous.
[00:45:55] Speaker B: Une autre question du public, on en a un peu discuté tantôt, mais c'était par rapport à l'implication temporelle. Est-ce que, je ne sais pas toi, tu pourrais répondre aussi, est-ce que c'est possible de combler en fait le travail, l'université et l'implication? Est-ce que toi, tu travailles en temps partiel aussi? Comment t'organises ton horaire?
[00:46:14] Speaker D: En fait, un autre élément qui n'est pas si connu de la FIRST, c'est que j'ai des bourses d'implication. Donc, je suis comme rémunéré dans un sens pour mon implication à la FIRST parce que ça demande beaucoup de temps. Donc, c'est vraiment quelque chose qui a été mis en place dans le but de de ne pas empêcher les gens de s'impliquer activement à la FEUS parce qu'il y avait une question monétaire là-dedans. Donc c'est vraiment quelque chose qui est super apprécié et donc je ne travaille pas en même temps, dans le fond, pendant que je suis aux études. Sinon, ça me demanderait énormément, beaucoup trop de temps, je serais complètement… – Tu.
[00:46:53] Speaker C: N'Aurais pas de vie.
[00:46:54] Speaker D: – Oui, vraiment, ça serait pas de vie, pas de sommeil, donc ça serait très chaotique, mais c'est ça. Puis sinon, dans les associations facultaires, souvent, c'est des implications qui demandent moins de temps, en général, par semaine. Donc, déjà, là, c'est un peu différent.
[00:47:08] Speaker B: Oui, c'est ça.
[00:47:08] Speaker C: Durant ton stage, est-ce que tu sais comment ça fonctionne?
[00:47:12] Speaker D: À mon stage cet été, je suis impliqué aussi. C'était plus difficile parce que, bien, Boucherville et Sherbrooke, c'est un peu loin les deux. Donc, c'était plus difficile parce que je voulais comme presque tout faire en télétravail. Donc, c'est sûr que je suis monté quelques fois à Sherbrooke, mais très peu. Et ça demande aussi beaucoup d'organisation, beaucoup de planification parce que tu ne peux pas non plus travailler dans les heures de bureau parce que tu as un stage, donc c'est toi les heures de bureau. Et donc là, c'est ça. C'est un peu plus compliqué. Je suis en train de checker ça aussi pour la session d'hiver, comment je vais m'organiser et tout ça pour ne pas être pris de cours dans un sens. Ça ressemble à ça. Mais ce n'est pas facile pendant un stage.
[00:47:54] Speaker C: Ça prend définitivement de l'organisation.
[00:47:57] Speaker B: Dans tes dernières recherches de stage, est-ce que ça a vraiment eu un impact sur ton CV d'écrire ton implication? Est-ce qu'on t'en a parlé dans tes entrevues? Quelqu'un qui s'est demandé ça comme question.
[00:48:10] Speaker D: Oui, en fait, c'est quelque chose qu'on... que j'avais appliqué, je me rappelle, à Desjardins, en fait, à ma dernière session de stage. Et justement, pour une raison X, la personne avait vu mon implication au comité de mobilisation de la Géflèche et avait trouvé ça super génial. Elle me posait plein de questions là-dessus. Ça, c'est super le fun. Mais je n'ai pas encore eu vraiment l'opportunité de mettre l'implication de la FEUS, que je considère que c'est une implication qui est très grande sur mon CV. Fait qu'on va le voir justement dans les prochaines semaines, si les gens sont curieux d'en apprendre plus à ce sujet-là.
[00:48:49] Speaker B: Parce qu'on me dit souvent comme, ah ouais, ça paraît bien, etc. Mais je me demandais si justement ça avait vraiment un poids dans la balance.
[00:48:57] Speaker C: En ce qui Oui, puis au-delà d'avoir un poids, je pense que ça peut te permettre de connecter avec les personnes qui te passent en entrevue, ou même dans ton futur emploi, dans le sens où si eux aussi ont eu des implications universitaires, c'est des discussions que vous pouvez les deux comprendre. Puis je pense que c'est un beau lien. On pense aux associations, mais au jeu aussi, jeu du commerce, jeu de la com.
[00:49:20] Speaker B: On a pour parler toutes les facultés, en fait.
[00:49:22] Speaker C: Oui, c'est ça, je dis ça. dans laquelle on est, mais je pense que c'est comme plein de belles façons de s'impliquer qui te permettent d'être lié avec d'autres personnes aussi.
[00:49:33] Speaker D: Oui, je suis totalement en accord, justement, là-dessus. J'ai oublié, j'avais vraiment de quoi que je voulais dire, mais... Ça va peut-être t'en venir.
[00:49:43] Speaker C: Super!
[00:49:46] Speaker B: C'est pas mal tout en fait.
[00:49:48] Speaker C: En fait, j'ai une dernière question qui ne vient pas du public numéro 2 encore une fois. On voit sur notre facture, on l'a mentionné tantôt, le genre de 80 $ par session qui est pour la first. Est-ce qu'il y a pour quelqu'un, ça.
[00:50:05] Speaker D: Se peut, Non, c'est 20 quelques dollars la first, mais 80 ça se peut que ça soit avec les assurances.
[00:50:12] Speaker C: Bon, on enlève le 80, mais mettons pour le budget. Quelqu'un justement qui regarde sa facture, parce que là on les a reçus pour la session d'automne, quelqu'un qui se dit, c'est quoi ce 24 dollars-là, 20 dollars-là, qu'est-ce que tu leur répondrais rapidement, à quoi ça sert?
[00:50:28] Speaker D: À quoi ça sert? Déjà, comme dans la mission de la FIRST, comme on l'a dit, on a défendre et représenter les personnes étudiantes. Donc, dans un sens, si tu ne payes pas ta cotisation, parce que tu peux, si tu veux, ne plus cotiser à la FIRST, tu peux te désister, je veux dire, dans un sens, mais tu vas...
[00:50:44] Speaker C: On ne le conseille pas.
[00:50:45] Speaker D: Non, je ne conseille vraiment pas parce que c'est quelque chose qui ne coûte pas très cher par session. Et si tu as un problème, on est là pour vous. On est là pour ça tout simplement. La raison de l'existence de la FEUS, c'est de défendre et informer les personnes étudiantes. Il y a aussi justement tous les services qu'on a mentionnés depuis tout à l'heure. Donc, c'est quelque chose qui peut profiter aux personnes qui payent leur cotisation à la FEUS. Mais à partir du moment où est-ce que tu ne les payes plus, tu n'as plus le droit à ces services. Donc même théoriquement, si tu ne payais pas ta cotisation à la FEUS, tu ne pourrais pas avoir d'agenda. Fait que déjà là, c'est beaucoup d'affaires dans un sens qu'on fait.
[00:51:22] Speaker B: Honnêtement, un agenda, ça coûte 24$.
[00:51:27] Speaker C: Mais Unilogement, les prêts d'équipement, Agenda, moi c'est trois choses que je vous conseille vraiment.
[00:51:34] Speaker B: Super, bien c'était vraiment merci beaucoup d'être venu, c'était vraiment le fun de t'avoir avec nous, d'apprendre à te connaître un peu plus parce qu'on a le même bac mais on ne se connaît pas tant que ça. Est-ce que tu peux nous dire où est-ce qu'on peut suivre la FIRST parce que tu nous parles d'événements et tout, comment on peut suivre ça à la lettre pour être présent?
[00:51:52] Speaker D: Je dirais vraiment c'est Facebook et Instagram. C'est là qu'on est le plus actif, tout simplement. Puis que ça soit en story beaucoup, donc on fait beaucoup de story à la FIRST. On a aussi les Squads 5 à 8 que je vous avais mentionnés. Eux sont présents sur Instagram, puis ils font beaucoup de petits vidéos. Ils sont très actifs et très cordiaux. C'est génial, justement, les petites créations qu'ils font. Donc je vous encourage énormément à checker leur Instagram. On a un site web de la FIRST aussi, que vous connaissez l'existence. Et ça ressemble... Pas mal à ça.
[00:52:22] Speaker C: Puis avais-tu d'autres choses à dire à notre communauté? Peut-être, je ne sais pas, un événement spécial, un scoop qui s'en vienne ou quelque chose qu'on a oublié que tu voulais leur mentionner ou tu penses qu'on a fait un beau tour de qu'est-ce qu'est la FERS?
[00:52:36] Speaker D: On a fait un beau tour, même si je voulais vous parler des artistes du show de la rentrée du bar, je ne vais pas le mentionner, de toute façon, on n'a rien de confirmé. On check aussi déjà pour le show de la rentrée d'automne 2026, donc pour louer les les artistes et tout. Mais non, c'est ça, j'ai déjà comme mentionné la lueur des événements, mais en tout cas, peu importe. Si je devais faire un message final, impliquez-vous, que ce soit dans vos associations facultaires, que ce soit à la FIRST, que ce soit dans des petits comités de même, je veux dire, il y a vraiment des regroupements étudiants qui sont, présentement, on est au E1, donc le pavillon de la vie étudiante. Si on regarde juste en bas, il y a plein de regroupements. qui ont aussi des dés locaux et qui organisent différentes activités, tout ça. Impliquez-vous, c'est le fun. Vous apprenez à connaître du monde. Donc, voilà.
[00:53:31] Speaker C: Et un gros merci, Émerie. C'était super intéressant.
[00:53:33] Speaker D: Merci beaucoup.
[00:53:34] Speaker B: Merci. Bonne semaine à tout le monde.
[00:53:37] Speaker C: À la prochaine.
[00:53:37] Speaker B: À la prochaine.